lundi 30 novembre 2009

Cordaro : 3 matchs, mais un appel !




Le comité sportif s’est montré très sévère envers Sandro Cordaro. Pour son exclusion face au Club de Bruges, le comité sportif a réclamé trois matches de suspension et une amende de 150 euros. Le club et le joueur vont aller en appel de cette décision.

En effet, c’est une très lourde sanction car Carl Hoefkens avait lui-même reconnu qu’il avait commis la première faute. De plus, si Cordaro touche bien son adversaire au visage, c’est uniquement en tenant de se dégager du marquage fautif de son adversaire. Charleroi doit donc se défendre ce mardi devant le comité sportif.

(source : La Nouvelle Gazette)

À quand des jours meilleurs ???



Après la défaite honorable des Zèbres , Tommy Craig pointe les raisons d’espérer

Avec deux défaites rendant crucial le prochain match face à St-Trond, on ne peut pas parler de choc psychologique, du moins dans les chiffres, provoqué par le retour de Tommy Craig au Mambourg. En outre, alors qu’il avait demandé un effort à ses hommes à ce propos, le nouveau T1 carolo est servi en matière d’exclusions, puisqu’il a perdu trois éléments prématurément en l’espace de cent quatre-vingts minutes, ce qui porte à sept le nombre total de cartes rouges, directes ou non, récoltées par les Carolos cette saison.

“Je n’ai pas vu ce qu’a fait Cordaro” , commentait son entraîneur à chaud. “J’ai juste constaté que le juge de ligne indiquait qu’il avait donné un coup de coude (NdlR : ce qui est faux) et je ne peux donc faire aucun commentaire là-dessus avant d’avoir visionné les images.”

Malgré ce nouveau revers, l’Écossais pointe de nombreuses raisons d’espérer des jours meilleurs : “C’est toujours très difficile à dix contre onze, surtout contre un bon Bruges (NdlR : ah ?) qui a tout donné pour aller chercher la victoire. Dans ces conditions, j’ai dû changer ma stratégie en pensant à défendre alors que je suis naturellement porté vers l’offensive. Il est un fait que Bruges s’est ménagé plus d’occasions que nous, mais je suis satisfait de ce qu’on a montré défensivement, de la discipline affichée et du dur travail que nous avons consenti. Ce qui m’a fait le plus plaisir est sans doute l’état d’esprit collectif dont nous avons fait preuve. On a du talent, ça ne fait pas de doute… À nous de faire en sorte de l’exploiter en équipe dans les prochaines semaines ! Mon but est bien sûr de rechercher le meilleur jeu possible, mais ce n’est pas la priorité du moment. On doit d’abord redresser la barre sur les cinq ou six prochains matches. Pour le reste, on verra après…”

En face, Adrie Koster admettait que ce ne fut pas grandiose et pointait l’apport de ses réservistes en décernant une mention à Dirar, qui la méritait bien.

(source : dhnet.be)

dimanche 29 novembre 2009

Les Zébres s'enfoncent...




Charleroi accumule les prestations décevantes et s'enlise sans le bas du classement

Le match était aussi important dans sa forme (c’est-à-dire par son enjeu mathématique) pour les Brugeois que dans son fond pour les Carolos. Ce sont les Zèbres qui mirent le nez à la fenêtre en premier, avec une action de Christ et surtout, une opportunité pour Mboyo qui n’exploita pas une passe en retrait de Cordaro.

Les Brugeois répliquèrent par leur flanc droit mais visiblement, les joueurs de Tommy Craig ne se bornèrent pas à préserver un point et développèrent même plusieurs mouvements de bonne facture. Malheureusement, les vieux démons rattrapèrent les mêmes avec… une septième exclusion (et la quatrième sur les deux matches face au Club Bruges !) depuis le début du championnat en la personne de Cordaro qui se rendit coupable d’avoir répliqué d’un geste (une sorte de claque) à une faute (évidente) de Hoefkens.

Charleroi parvint néanmoins au repos sans dégâts malgré une grande occasion galvaudée par Akpala qui tira nettement à côté.

La reprise faillit également être fatale au Sporting visiteur lorsque Kouemaha ouvrit pour Vargas. Chabbert intervint et… il s’en fallut de peu pour que Lella ne marque contre son camp ! Les Brugeois exercèrent une pression en s’installant dans le camp carolorégien. Les situations parfois épiques se succédèrent dans le rectangle de Chabbert qui enraya des tentatives de Kouemaha et de Vargas tandis que Dirar tira sur le poteau.

Enfin, Geraerts délivra un centre pour la tête de Dirar. Dahmane prolongea – également de la tête – et Chabbert ne put que repousser dans les pieds de Kouemaha. La mission des Zèbres était devenue impossible…

"La carte rouge fut le tournant !"

Les Brugeois reconnaissaient la valeur de Charleroi

Étant donné qu’il est extrêmement difficile d’obtenir un témoignage de la part d’un joueur carolorégien, nous avons laissé la parole aux Brugeois… qui se sont exprimés sur les mérites de leurs visiteurs. Ainsi, Mohamed Dahmane précisa : “Le tournant, du match fut l’exclusion de Cordaro qui n’est pourtant pas un joueur méchant. Nos adversaires ont dû jouer trop longtemps à dix et nous avons fini par émerger.”

De là à imaginer que le Sporting s’en serait tiré à son avantage s’il n’avait dû évoluer en infériorité numérique ?

“En tout cas, nous n’avons pas mis les Carolos en difficulté. Pour être honnête je relèverai qu’ils auraient parfaitement pu atteindre le repos avec un avantage car ils ont toujours essayé de jouer au foot, sans se retrancher dans une attitude essentiellement défensive. Mais vous savez, la chance finit souvent par récompenser les plus forts. J’en ai fait l’expérience lorsque je jouais à Mons.”

Dahmane n’est pas pleinement heureux à Bruges : “Je répète que j’ai besoin de temps de jeu pour m’exprimer et attirer l’attention du sélectionneur de l’Algérie en vue d’une sélection pour la Coupe du monde. Je ne puis être satisfait de mon sort. D’autant que j’avais réussi mes entrées au jeu lors des matches précédents face à La Gantoise et au GB Anvers.”

En attendant, Blondel apporte de l’eau au moulin de son équipier : “Nous avons fait la différence par les remplaçants. Ils ont fait la décision !”


(source : dhnet.be)

Craig : "Je suis fier d'eux "




Trois points sur les neuf dernières rencontres, cela fait peu pour les Carolos qui ont retrouvé un entraineur depuis peu. Grâce à Tommy Craig, les joueurs ont affiché une belle mentalité à Bruges où ils ont joué pendant près d'une heure à dix. Malgré la défaite, le coach de Charleroi a vu des choses positives.

« Oui, il y avait beaucoup de positif. La camaraderie, la solidarité, la connivence, l'esprit de groupe, l'attitude du groupe en général et le travail sont des choses qui me font plaisir. Bien sûr, je suis déçu d'avoir perdu le match mais avec dix joueurs pendant une heure, c'est toujours compliqué. Plus le match avançait, plus Bruges se créait des occasions, c'était difficile. Mais je suis fier d'eux. » a déclaré Tommy Craig au micro de la RTBF dont le présentateur a traduit l'interview. En effet, l'entraineur carolo ne parle pas le français.

Notons également que comme nous vous l'annoncions en semaine, les joueurs de Charleroi n'ont pas pu être interrogé par la presse.

(source : Footgoal.net)

La bonne mentalité carolo n’a pas suffi



Les Zèbres se sont inclinés sur le plus petit écart ce samedi soir face au Club de Bruges (1-0). Mais le tournant de la rencontre est sans conteste l’exclusion de Sandro Cordaro à la 24e minute de jeu. Une carte rouge sévère car le médian avait d’abord été accroché...

Malgré la bonne attitude affichée par son équipe, l’entraîneur écossais n’affichait évidemment pas une mine des bons jours, à la conférence de presse d’après-match. “ Cette rencontre était difficile face à une bonne équipe brugeoise. Après la carte rouge de Cordaro, j’ai dû changer de stratégie et faire jouer mon équipe défensivement. Je n’aime pas cela du tout. Je préfère jouer l’offensive ”, assurait Tommy Craig.

Quant à la carte rouge de Sandro Cordaro, il ne souhaitait pas trop la commenter. “ Je ne l’ai pas vue de mes yeux. Le juge de ligne a signalé un coup de coude à l’arbitre. C’était avec les mains? Je préfère le voir avant de dire quoi que ce soit. ”

(source : La Nouvelle Gazette)

Kouemaha fait la différence



Le Club de Bruges a décroché une courte mais importante victoire contre Charleroi. Les Zèbres, rapidement réduits à dix, ont tenu 80 minutes, avant de plier sur un but de Kouemaha.

Adrie Koster créait la surprise en alignant Simaeys à la place de back droit. A l'inverse, pas de surprises dans le onze de Charleroi. Les Zèbres se procuraient plusieurs possibilités via Mboyo et Christ. Le Club Brugeois ne parvenait pas quant à lui à inquiéter Chabbert.

Les locaux bénéficiaient d'un vrai cadeau lorsqu'à la 25-ème minute de jeu, Cordaro écopait d'un carton rouge, le septième pour Charleroi cette saison. Mais les occasions ne tombaient pas, il fallait attendre la fin de la première période pour voir Akpala inquiéter le camp adevrse.

En seconde période, le Club augmentait la pression. Monté au jeu, Kouemaha se montrait directement dangereux, tout comme Dirar, par leur rapidité et leur disponibilité. Charleroi était replié dans son camp et craquait finalement à un quart d'heure du terme.

Kouemaha se chargeait en effet de délivrer son équipe en trouvant l'ouverture. Un but qui apporte trois points importants pour le Club, toujours à cinq points d'Anderlecht au classement général.

(source : sport.be)

samedi 28 novembre 2009

Sera-ce un match de référence ?



Il y a urgence mais les Zèbres doivent soigner le fond plutôt que la forme

Tommy Craig entamera donc sa nouvelle (et différente de la précédente) mission carolorégienne au Jan Breydelstadion de Bruges… dont le Club local a grandement besoin de redorer son blason, et par la même occasion, se replacer convenablement dans la course au titre !

Pas une sinécure pour l’entraîneur écossais mais si le Sporting hennuyer a urgemment besoin de points, eu égard à son classement délicat, on a le sentiment que pour la circonstance, les Zèbres ont surtout besoin de soigner le fond plutôt que la forme. “À Bruges, il faut surtout démontrer un état d’esprit et préparer le match suivant face à Saint-Trond car celui-ci sera vraiment capital. Dès lors, il faut en jeter les bases !”, confie un proche du Mambourg qui est touché de plein fouet par la situation actuelle.

Mais la semaine écoulée n’aura pas été inutile pour les Carolos qui ont retrouvé, en Tommy Craig, un homme qu’ils avaient appris – du moins dans leur majorité – à apprécier, et ont ainsi découvert un véritable mentor.

On relèvera, en outre, que l’intronisation du même en a boosté plus d’un. Habib Habibou (qui risque de faire défaut en raison d’un problème de santé) nous confiait en début de semaine… alors que le black-out n’avait pas encore été décrété : “L’engagement de l’entraîneur écossais correspond à un bon scénario. Même dans l’ombre de John Collins, il avait déjà pris les rênes lors de la deuxième partie de la saison passée. Il avait déjà pris les attitudes d’un boss !”

Les effets de ce changement inattendu (quoiqu’avec Abbas Bayat il ne peut que se produire des surprises) porteront-ils immédiatement leurs fruits ?

“C’est un homme fort. Il peut nous remettre sur rail !”

(source : dhnet.be)

Que pensez-vous du “silence radio” imposé aux Zèbres?



Depuis mercredi, les Zèbres n’ont plus droit à la parole. Tommy Craig, le nouveau coach du Sporting, insiste pour que son groupe ne parle plus que d’une seule fois et donc il leur interdit de communiquer dans les médias. Approuvez-vous cette décision?

Ancien Zèbre, Philippe Albert est un fort en gueule. C’est connu. Alors, au vu de son statut d’électron libre, aurait-il cédé à la mesure imposée par Tommy Craig? “ La liberté d’expression existe depuis longtemps. Sauf clause dans le contrat qui m’aurait interdit de parler à la presse, je n’aurais jamais respecté une telle injonction. On a le droit de dire ce que l’on veut quand même! ”, explique l’Ardennais. “ Je trouve cela complètement incompréhensible. À quoi cela sert-il que les journalistes se déplacent alors? On vit dans un pays libre que je sache non? ”

Le ton presque énervé, Philippe Albert embraye et appuie sur les raisons pour lesquelles il ne comprend pas cette décision. Dans les prochains matches tout le monde espère que les zèbres gagnent enfin, après autant de rencontres de disette. “ Imaginez que Charleroi fasse un 9/9 lors des prochaines rencontres. Va-t-on encore vous interdire de parler à un joueur qui a délivré l’équipe ou marqué deux buts? Je pense que c’est la preuve de la crise, où l’on essaie de cacher derrière une telle mesure, tous les maux du vestiaire. ” Une mesure qui pousse aussi Philippe Albert à une réflexion: “ Ce n’est vraiment un monde qui m’attire que celui du football actuel! ”

(source : La Nouvelle Gazette)

Tommy Craig décrète un black-out



L’Écossais se veut seul interlocuteur, ce n’est pas une solution

Qu’on le veuille ou non, c’est un signe d’un état de crise. Ainsi, Tommy Craig a pris la décision, seul [?], qu’il serait l’unique interlocuteur de la presse.

C’est-à-dire que, dans l’immédiat, les joueurs ne peuvent pas s’exprimer : “J’ai appris que d’au-cuns se sont parfois répandus, mais ce n’est pas une bonne attitude. La seule vérité, elle existe sur le terrain et je veux précisément que nous ne nous concentrions que sur nos obligations propres. Le seul intérêt, il est porté sur nos prestations footballistiques.”

L’arrêt n’est pas définitif mais temporaire (toujours cet état de crise), si bien qu’après match, nous aurions droit à l’interview d’un joueur qui se serait mis particulièrement en évidence. Par exemple qui eut été décisif ou bien qui aurait inscrit trois buts. Le black-out n’est donc pas obtus.

Disons que, selon, une formule souvent de mise au Mambourg (à laquelle il s’adapte), l’entraîneur écossais veut protéger les siens. Il insiste notamment sur le constat désolant de la comptabilité concernant les cartes rouges. Il n’est pas normal qu’avec six joueurs exclus sur le premier tour du championnat classique, le Sporting Charleroi détienne le record en la matière.

Il n’empêche que sa décision est discutable. Chacun doit faire son métier, à commencer par les représentants de la presse.

Et s’il craint l’un ou l’autre dérapage, il doit en parler dans le vestiaire où il a le droit de mettre ses Zèbres sur leurs gardes.

En attendant, il est vrai que le match de ce samedi, au Jan Breydelstadion, risque de s’avérer extrêmement important pour le Sporting hennuyer. Soit dit en passant, ainsi d’ailleurs que pour le Club.

Au-delà d’un besoin de points imminent, les Carolos doivent retrouver du (un ?) crédit, une identité, voire une âme.

Si un état d’esprit (pratiquement inexistant depuis trop longtemps) renaît à Charleroi, Tommy Craig aura course gagnée. Car le reste (à savoir les résultats) suivra immanquablement...

(source : dhnet.be)

mercredi 25 novembre 2009

Les joueurs ne peuvent plus parler !



Tommy Craig a demandé à ses joueurs de ne plus parler à la presse. C’est désormais lui, et lui seul, qui s’adressera au nom de ceux-ci . Cette mesure paraît être momentanée. Pour le reste, les Carolos se sont entraînés régulièrement au Centre national de Tubize.

Manquent encore à l’appel: Franquart et Iajour, toujours atteints de symptômes grippaux. Chakouri est bloqué, depuis samedi, pour des raideurs aux vertèbres. Il devrait être de retour au plus tard vendredi.

(source : La Nouvelle Gazette)

mardi 24 novembre 2009

Franquart et Iajour sont malades



Après avoir (re) découvert la méthode Craig ce lundi, les Zèbres passaient des tests physiques ce mardi. Ces tests avaient débuté la semaine passée, mais vu que certains joueurs étaient malades et que d’autres étaient retenus pour obligations internationales, ils se sont poursuivis ce mardi.

De la séance du jour, il faut également retenir les absences de Peter Franquart et Mouhssine Iajour. Ils souffrent tous les deux de symptômes grippaux. Sébastien Chabaud soigne toujours sa contracture alors que Amad Al Hosni est attendu au Sporting ce mercredi.

(source : La Nouvelle Gazette)

“Oublier le passé !”



Tommy Craig préfère le travail à tout discours

Alors qu’il avait officieusement entamé sa nouvelle mission au Canonnier où il avait coaché les Zèbres lors de la deuxième mi-temps du match, Thomas Craig a pris officiellement ses fonctions, hier matin, en dispensant sa première séance d’entraînement. Dans des conditions climatiques à résonance britannique, donc qu’il connaît bien, mais sur un terrain de Marcinelle qu’il n’a pas reconnu, eu égard à sa qualité.

Celui que l’on prénomme plutôt Tommy nous a confié ses impressions : “J’ai redécouvert des garçons réceptifs. Bien sûr, les mines ne sont pas réjouies en raison des résultats, mais je vais leur communiquer ma soif de bien faire. Nous allons réagir !”

L’homme n’est pas friand de discours : “Plutôt que de leur parler, nous nous sommes mis directement au travail. Ils auront mieux compris ce qu’il y a lieu de faire que sur base d’un message verbal. L’entraînement fut intensif et très dur.”

L’effectif carolorégien n’a pas beaucoup de secret pour Tom- my Craig, qui a déjà dirigé – et encore récemment – la majorité des joueurs dont il reprend la charge : “L’effectif recèle les mêmes qualités que celui de la saison passée, mais mon boulot, ce sera prioritairement de faire ressortir celles-ci.”

Oui, mais ce sera au prix de restaurer un état d’esprit. C’est qu’il faut rendre une âme à un groupe qui semble en débandade : “Tout d’abord, il faut faire abstraction du passé. Ils doivent oublier ce qu’ils viennent de vivre et ne penser qu’à l’avenir. Seul le prochain match importe !”

Il s’agira d’éviter les errements de Mouscron : “Ils étaient perdus sur le terrain où chacun attendait l’autre. Il faut soigner tout spécialement un retour à la collectivité !”

Une gageure...

(source : dhnet.be)

lundi 23 novembre 2009

Rififi autour d’un penalty



Le cas Al Hosni, porté disparu, sera sans doute aussi à l’ordre du jour de Tommy Craig ce lundi

La scène n’a échappé à personne : Habibou place le ballon sur le point de penalty, Théréau vient le lui souffler et Christ fait sortir le premier nommé du rectangle. Après avoir indiqué que “certains ne se sont pas batus” , Habib expliquait : “Il y a un joueur désigné, mais c’est le cinquième penalty que je force et je voulais marquer aussi, car je suis aussi un buteur.”

Oulmers, son capitaine, n’était pas cet avis : “Comme dans tous les clubs, il y a un tireur désigné et, chez nous, c’est Théréau. S’il n’est pas sur le terrain, O.K. pour qu’Habib prenne la relève. Cela ne s’appliquait donc pas et ce qu’on a vu démontre un problème d’état d’esprit. Quant à savoir si certains ne se sont pas battus, je laisse les journalistes en juger. Je sais juste que ce ne fut pas mon cas.”

Décidément, l’ambiance entre joueurs est à l’avenant du non-jeu pratiqué. Autre feu à éteindre pour Craig : le dossier Al Hosni. Alors que son match contre le Brésil avait lieu mardi, l’Omanais n’était pas plus présent samedi que vendredi. Attention, Tommy ! Guédioura avait lui aussi commencé par brosser l’un ou l’autre entraînement…

(source : dhnet.be)

Tommy Craig a dispensé son premier entraînement



Le nouveau coach du Sporting a dispensé sa première séance d’entraînement ce lundi matin. Tommy Craig avait donné rendez-vous à ses hommes à 10 heures à Marcinelle pour une séance de travail axée sur le pressing défensif.

Il faisait un vrai temps écossais pour ce premier entraînement. Pluie, vent et froid n’ont pas empêché les Zèbres de se livrer à fond durant 1h15. Déjà bien en voix, Tommy Craig, le bonnet vissé sur la tête, a donné de sa personne pour donner du rythme à la séance. Après un passage bien mérité par les vestiaires, les Zèbres avaient rendez-vous dans une salle du stade pour assister au premier discours du coach. Tommy Craig a notamment expliqué sa vision du foot aux Zèbres. Ce mardi, deux séances d’entraînement sont au programme.

(source : La Nouvelle Gazette)

Craig sera-t-il James Bond ?



Le nouvel entraîneur des Zèbres a vraiment beaucoup de pain sur la planche…

Généralement, quand une équipe hérite d’un nouveau chef, elle a à cœur de se faire violence, ce qui débouche parfois sur le supposé choc psychologique. Or, pas collectifs pour un sou et pour tout dire en dessous de tout, les Sambriens faisaient carrément peine à voir au Canonnier, que ce soit pendant ou après le match.

L’acteur Daniel Craig a prouvé qu’il avait l’étoffe d’un James Bond. Ses méthodes ne seraient pas de trop au Mambourg… Et Tommy Craig, à quels artifices aura-t-il recours afin de relancer un groupe à la dérive ? Samedi, l’Écossais a d’abord pris un peu de hauteur en s’installant en tribune. Avant cela, il avait donné ses directives avec la collaboration d’un De Wolf bombardé interprète attitré (Craig est le premier entraîneur de toute l’histoire du RCSC à ne pas maîtriser le français).

Alors qu’il avait vu “une équipe bien en place” avant la pause, le frais émoulu T1 carolo – qui avait délaissé le training et l’effacement qui étaient les siens sous Collins – prit les choses en main du banc, qu’il quitta souvent pour donner de la voix. Mais les choses ne s’arrangèrent pas, loin s’en faut…

“Venant d’arriver, il n’a pas eu le temps de faire grand-chose”, expliquait justement Oulmers. “Il a maintenu le congé prévu ce dimanche et a dit qu’il nous donnerait toutes ses consignes ce lundi. On le connaît : c’est un dur et il maîtrise son sujet ! Chacun sait donc à quoi s’en tenir et ceux qui ne feront pas ce qu’il demande sont conscients de ce qui les attend…”

L’ampleur de la tâche dévolue à Craig n’échappe à personne. Le capitaine des Zèbres en est le premier convaincu : “C’est triste de voir ce qu’on a vu de notre part ce samedi. On doit prendre du plaisir en jouant au foot et ce n’était vraiment pas le cas. Je ne comprends pas ce qui se passe. C’est toujours la même équipe, les qualités sont présentes, et pourtant… À Bochum, même si ce n’était qu’un match amical, c’était parfait. Et là, on vient de faire tout le contraire…”

Lella revit, Sergio reste prudent


Cela faisait longtemps qu’on n’avait plus vu Lella en championnat : “J’aurais préféré un retour dans d’autres circonstances. La déception l’emporte, même si je suis évidemment heureux d’avoir rejoué. On ne peut pas plaire à tout le monde et c’était le cas avec M. Demol. J’espère repartir sur de bonnes bases avec M. Craig.”

À moindre échelle, puisqu’il resta sur le banc, Sergio était l’autre revenant. La veille, en présence d’Abbas Bayat et de Tommy Craig, le médian de poche avait signé un triplé en Espoirs (6-1 avec un doublé de Serwy et un but de Iajour, l’autre élément délégué du noyau A). Il restait prudent : “Quand il y a un changement d’entraîneur, on repart tous sur un pied d’égalité. On verra bien comment ça tourne en ce qui me concerne mais, vu la situation, c’est évidemment l’intérêt du club qui prime.”

(source : dhnet.be)

Les Zèbres de Craig se sont fait... écosser



Si les Carolos voulaient se montrer à leur nouvel entraîneur écossais, c'est réussi ! Tommy Craig, depuis la tribune aux côtés d'Abbas Bayat en première mi-temps, puis du bord de touche en seconde, en a pris plein la vue. Quel désastre !


Arbitre : M. Delacour.

Cartes jaunes : Sapina, Kere.

Cartes rouges : 77e Franquart, 89e Guédioura (2 J.)

Buts : Jaycee (1-0, 13e), Théréau sur pen. (1-1, 18e), François (1-2, 33e), Jaycee (3-1, 47e), Maah (4-1, 70e),


MOUSCRON : Berthelin, Teklak, Sapina, Van Gyseghem, El Araichi, Ouali, Aspas (83e Hovine), Assou-Ekotto, François, Lestienne (68e Sishuba), Jaycee (55e Maah).

CHARLEROI : Chabbert, Diallo (59e Lella), Kere, Guédioura, Orlando, Cordaro (51e Mujangi Bia), Franquart, Oulmers, Christ, Théréau, Habibou.


Mouscron, sans forcer, en jouant tranquillement, a empilé quatre buts à une défense carolo en frigolite au sein de laquelle le pilier Badou Kere a sans doute réalisé une des pires prestations de sa carrière. Tactiquement, Charleroi a fait du grand n'importe quoi (Diallo l'arrière gauche à droite, Guédioura le médian en défense centrale, Orlando l'attaquant à l'arrière gauche,...), les joueurs ont réussi à se faire dépasser dans un match sans rythme et, comme l'a souligné l'attaquant Habib Habibou : « Il y en a qui n'essaient même pas de se battre ».

Alors, même si ce résultat peut disparaître prochainement des tablettes, le Sporting a confirmé son état de crise aiguë. Tommy Craig, qui n'avait signé que la veille au soir, n'avait pas encore pris en charge la disposition de l'équipe, et sa descente aux vestiaires à la mi-temps (« come on boys ! »), n'a pas eu l'effet escompté. Que du contraire. « Je suis déçu, a commenté l'ancien adjoint de John Collins. Les joueurs sont capables de bien autre chose. Mon job commence vraiment maintenant. Il y a beaucoup de travail, mais le challenge est intéressant . »

D'autres avant lui aussi, ont été enthousiasmés par le défi carolo. Avant que les structures, la mentalité, le fonctionnement du club ne finisent par leur courir sur le... haricot.

(source : actu24.be)

dimanche 22 novembre 2009

4-1 à Mouscron: il y a du travail, Mister Tommy Craig!



Il n'y a pas encore eu d'effet Tommy Craig à Charleroi. Les Zèbres se sont inclinés 4-1 à Mouscron. Pire encore, ils n'ont jamais semblé en mesure d'inquiéter une équipe hurlue pourtant minée par les problèmes financiers. Vous allez avoir du travail, Mister Craig!

Le nouveau coach carolo était déjà sur le banc samedi soir au Canonnier. Tommy Craig n'a pas hésité à se lever durant la rencontre et à donner de la voix. A la mi-temps, on l'a également vu parler à Majid Oulmers, son capitaine. Mais malgré l'arrivée du successeur de Stéphane Demol, Charleroi ne semble pas guéri de tous ses maux. Errements défensifs et manque de combativité: voilà ce qu'il faut retenir de cette rencontre... à oublier au plus vite. Tommy Craig savait déjà que sa tâche ne serait pas facile chez les Zèbres. A Mouscron, il a pris conscience de l'ampleur de la tâche qui l'attendait.

(source : La Nouvelle Gazette)


Moucron gagne sur le terrain


Mouscron a démontré qu'il méritait de demeurer en Jupiler Pro League sur le plan sportif. Les Hurlus ont largement dominé Charleroi 4-1.
De nombreux émissaires avaient pris place en tribune afin de visionner Lestienne et Jaycee. Et ce dernier n'a pas manqué de se mettre en évidence. Il s'offrait un solo au quart d'heure, se jouant de quatre défenseurs avant de tromper Chabbert. Théréau remettait cependant les deux formations à égalité sur penalty quelques minutes plus tard.

Mouscron reprenait l'avantage au score via Francois peu après la demi-heure. Charleroi tentait de réagir, mais Théréau et Habibou se heurtaient à Berthelin.

Deux minutes après la pause, Jaycee se chargeait de tuer tout suspense en trompant Chabbert pour la seconde fois de la soirée. Le joueur Bahreini se blessait ensuite en fêtant son but avec fougue.

Monté au jeu en remplacement de Jaycee, Maah se chargeait d'ajouter un numéro 4 pour la forme. De son côté, Charleroi terminait la rencontre à 9 suite aux exclusions de Franquart et Guédioura. Le nouveau coach, Tommy Craig, a du pain sur la planche.

(source : sport.be)



L’Excelsior Mouscron corrige le Sporting de Charleroi


Le nouvel entraîneur du Sporting de Charleroi, Tommy Craig, n’a pas fait une entrée fracassante en Jupiler Pro League. En effet, sa formation s’est inclinée sur le score de quatre buts à un au Canonnier face à une équipe mouscronnois qui réalise un six sur six et se donne un peu d'air au classement général.

Alors que le club semble sauvé financièrement peu de supporters avaient fait le déplacement ce samedi soir au canonnier pour encourager l’Excelsior de Mouscron (+/- 4100 spectateurs). Les Hurlus prenaient rapidement le match en matin via Jaycee qui inscrivant le premier but après 13 minutes de jeu mais cette joie n’allait être que de courte durée puisque Théréau égalisait sur penalty et inscrivait par la même occasion son huitième but de la saison.

A la demi-heure de jeu, François redonnait l’avantage à son équipe et l’Excelsior de Mouscron n’allait plus laisser aucune occasion au Sporting de Charleroi de revenir dans la rencontre en inscrivant deux nouveaux buts en deuxième période. La rencontre a également été émaillée par l’exclusion de deux joueurs carolos.

L’Excelsior de Mouscron se détache donc du Sporting de Charleroi dans le fond du classement puisque l’équipe compte désormais trois points d’avance sur les Carolos qui bénéficie de la défaite de Lokeren pour ne pas prendre l’avant dernière place du classement général.

(source : footgoal.net)

samedi 21 novembre 2009

Le futur stade de Charleroi: à Marchienne!



Le site qui abritera le futur stade de Charleroi vient d’être désigné: adieu les Expos, ce sera à Marchienne, sur le site d’AMS-Nord. Cette décision a été prise ce samedi matin, à l’issue d’une réunion rassemblant la majorité à la tête de la ville de Charleroi


Deux options sont toujours en lice pour le stade, qui sera donc basé à Marchienne: une configuration ”Coupe du Monde 2018 ”, avec une capacité de 40.000 places. Ou une version ”light ”, de 25.000 spectateurs.

Le choix qui s’est finalement porté sur le site de Marchienne est aussi symbolique, comme l’ont confié les responsable s politiques: il s’agit de remettre à neuf une ancienne friche industrielle. L’option d’un stade sur le parking des Expos est donc abandonnée... A suivre...

(source : La Nouvelle Gazette)

Mouscron-Charleroi aura bien lieu



L'Union belge vient de confirmer que la rencontre entre Mouscron et Charleroi sera bien disputée ce soir

Réuni samedi matin, le Comité Exécutif de l'Union Belge n'a pas agréé à la demande de la Ligue Professionnelle d'annuler tous les matches de l'Excelsior Mouscron jusqu'à nouvel ordre. La rencontre de la 15-ème journée du championnat Mouscron - RSC Charleroi aura donc bien lieu ce samedi soir (20 heures) au Canonnier, ou l'Ecossais Tommy Craig va ainsi faire ses grands débuts de T1 carolo. Le CE a en effet estimé ne pas disposer des bases juridiques et règlementaires pour suivre l'avis de la Ligue Pro qui lui avait recommandé de suspendre l'Excel.

L'Union Belge, probablement appuyée par la Ligue pro, ira par ailleurs en tierce opposition contre la décision du tribunal des référés qui a invalidé la commission d'appel des licences, lundi devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Les deux juges démissionnaires (Willem Van Hove et Roland Reynders) de cette commission d'appel, dont l'impartialité n'avait pas été reconnue par le tribunal, ont été remplacés par Melchior Wathelet senior et Jan Luyck.

Mouscron reste donc sous la menace d'une décision de justice légalisant la commission d'appel des licences, dont le verdict risque fort de lui être défavorable, et d'une exclusion de la Ligue professionnelle lors de la prochaine réunion.

Le dernier derby hennuyer de Division 1

L’aspect sportif sera mis à l’avant-plan durant 90 minutes


Eh oui, on joue encore au football à Mouscron. Après tous les rebondissements extra-sportifs, l’Excel devrait pouvoir disputer le match de ce soir face à Charleroi. Une occasion d’oublier l’espace de 90 minutes les nombreuses démarches juridiques et autres pistes d’investisseurs qui relèguent l’aspect sportif au second plan depuis un peu moins d’un mois.

“C’est une situation difficile et les joueurs ne peuvent pas faire abstraction de cela , explique Hans Galjé. Ils sont tenus au courant de l’évolution des choses, mais cette situation reste pesante. Nous avons déjà vécu deux matches dans cet état d’esprit. J’espère que contre Charleroi, ce sera le dernier, et qu’une bonne nouvelle viendra soulager tout le monde dès la semaine prochaine.”

Ce dernier derby hennuyer de Division 1 aurait dû motiver les foules mais, vu les conditions, on peut s’attendre à un duel entre deux malades.

“C’est regrettable pour notre région” , constate amèrement Alex Teklak, passé par les deux derniers représentants hennuyers. “On a perdu La Louvière, puis Mons. Mouscron et Charleroi sont également dans des positions critiques. Ce serait une catastrophe de plus pour le Hainaut si l’un d’eux venait à disparaître.”

Hier, la billetterie du Canonnier était loin de tourner à plein régime.

“C’est pourtant important que le public soit présent. Les Mouscronnois doivent montrer qu’ils sont derrière le club dans ces moments difficiles. Il faut soutenir les joueurs jusqu’au bout” , insiste Eddy Callaert, l’entraîneur-adjoint.

Si une issue favorable à l’Excel est finalement trouvée, il ne faudrait pas se mordre les doigts dans les rangs hurlus et carolos .

“On espère livrer une bonne prestation comme face à Malines , enchaîne Alex Teklak. Il ne faudra avoir aucun regret. Et puis, un derby reste un derby en dépit des conditions actuelles qui entourent ce match.”


(source : dhnet.be)

" Aucune excuse "




Mercredi soir, Mohamed Chakouri a vécu une soirée exceptionnelle. Possédant la double nationalité franco-algérienne, le défenseur carolo a naturellement vibré aux qualifications de ses deux nations de coeur et espère forcément connaître une nouvelle joie sportive dès samedi à Mouscron. " On reste sur sept matchs sans victoire et cela fait un peu trop, affirme le latéral droit, qui n'a manqué que deux matchs cette saison, à Saint-Trond et à Anderlecht. Face à Gand, on a touché le fond, individuellement et collectivement, mais on avait peut-être certaines circonstances atténuantes à faire valoir après une semaine... particulière. Le public nous a même pris en grippe, ce qui n'est jamais agréable mais demeure parfaitement compréhensible. Les supporters payent pour avoir le droit de voir du beau football, ce qui a rarement été le cas ces derniers temps. Nous, on espère parvenir à faire tourner le vent et à recevoir davantage de soutien dans ces moments difficiles. Ceci dit, on a eu le temps de mettre les choses à plat depuis lors. À Bochum (NDLR : où les Zèbres se sont imposés 1-4 en amical), on a démontré qu'il y avait encore de la vie dans ce groupe, ce dont nous n'avons jamais douté d'ailleurs. Il reste maintenant à le concrétiser en championnat. "

Candidat avoué au top 6, capable du pire comme du meilleur, Charleroi est à une période charnière de sa saison. Depuis son succès à Genk, le 18 septembre, le Sporting a aligné quatre défaites et trois partages. " C'est évidemment trop peu par rapport à nos ambitions et nos qualités intrinsèques mais, si on en est là aujourd'hui, c'est peut-être qu'on est à notre place actuellement ", affirme Chakouri.

" C'est triste à dire mais c'est la vérité mathématique. Nos ambitions, on doit les justifier par nos prestations, en paroles. Mouscron a connu une semaine difficile, une de plus, mais cela ne change en rien notre préparation ou notre motivation. Je sais que Malines a été piégé. Nous sommes prévenus. On n'aura aucune circonstance atténuante à faire valoir en cas d'échec. "

(source : Vers l'Avenir)

Excelsior Mouscron - Sporting de Charleroi : l'avant match.




Ce samedi 21 novembre 2009, le Sporting de Charleroi se déplace au Stade du Canonnier pour affronter l’Excelsior de Mouscron, dans le cadre de la 15e journée de Jupiler Pro League.

L’Excelsior de Mouscron occupe actuellement la 13e place du classement et compte 14 points.

Hans Galjé et Eddy Callaert annoncent la sélection suivante pour l’Excelsior Mouscron:

Berthelin, Slovenciak, El Araichi, Moreno, Sapina, Teklak, Van Gijseghem, Yebana, Aspas, Assou-Ekotto, Hovine, Lestienne, Ouali, Sishuba, Deranja, Francois, Maah, Okwunwanne.

Pour cette importante rencontre, le nouveau coach,Tommy Craig, n’a pas encore fait connaître sa sélection pour le Sporting de Charleroi.

Le match sera dirigée par Monsieur Christophe Delacour, assisté par messieurs Jean-Michel Soyer et Jozef Carmeliet.

Le quatrième arbitre sera Monsieur Jurgen Brinckman.

Le coup d'envoi de la rencontre sera donné à 20h00.

(source : rcsc.be)

Tommy Craig est déjà au travail!



Le nouveau coach des Zèbres n’aura pas tardé avant de se mettre au travail. Son contrat d’un an demi à peine paraphé, il se dirigeait vers le terrain d’Heppignies où les Zébrions disputaient leur match face à Mouscron. Une belle entrée en matière.

L’an dernier, Tommy Craig avait déjà prouvé qu’il était un adepte du travail. Et l’homme n’a pas changé... À peine était-il nommé officiellement qu’il allait déjà voir les jeunes Zèbres à l’œuvre. L’an dernier, avec la complicité de John Collins, il n’avait pas hésité à lancer les jeunes Lella, Pelé ou encore Lazicth. Tommy Craig ira-t-il encore puiser dans le noyau des Espoirs pour trouver du sang frais pour les Zèbres?

(source : La Nouvelle Gazette)

vendredi 20 novembre 2009

Tommy Craig, nouveau coach du Sporting !



La direction du Sporting de Charleroi et Monsieur Tommy Craig ont trouvé un accord afin que celui-ci reprenne les destinées sportives du noyau pro dès ce samedi.

Après quelques jours de discussions et réflexions, Tommy a marqué son accord pour parapher un contrat de 1,5 ans comme coach principal du RCSC.

Tommy à l'avantage de bien connaître notre club, nos joueurs et notre Championnat et n'avait laissé que de bons souvenirs au sein de notre structure.

Son professionnalisme, sa carrière d'entraîneur au haut niveau, sa volonté de réussir ce défi, sa sagesse et son immense expérience sont des atouts majeurs pour notre défi sportif et la suite de notre saison.

Tommy fut joueur à Aberdeen, Sheffield Wednesday, Newcastle, Aston Villa, Swansea City, Carlisle United et Hibernian.

Il fut ensuite coach à Hibernian, Celtic, Aberdeen, en équipe nationale U21 Ecossaise et à Newcastle United.

Les premières impressions de Tommy à RCSC.be :

«Je suis très heureux de m’être vu proposé le poste d’entraîneur principal du RCSC.

Je remercie la direction du club de me témoigner cette confiance et j’espère que nous aurons des meilleurs résultats sportifs rapidement.

J’ai l’avantage de bien connaître l’effectif et je pense pouvoir améliorer les résultats avec ce groupe en travaillant dur.

Je ferai le maximum pour ramener à Charleroi le goût de la victoire.

Les joueurs savent à quoi s’attendre avec moi : travailler et encore travailler et ce avec le plaisir de venir aux entraînements tous les jours »

(source : rcsc.be)

jeudi 19 novembre 2009

Jean Marc Furlan en route pour Charleroi?



Toujours à la recherche d'un remplaçant à Stéphane Demol, le Sporting de Charleroi est depuis plusieurs jours en contact avec l'entraîneur français Jean Marc Furlan.

La famille Bayat cherche un homme à poigne pour tenir le vestiaire carolo, réputé difficile à gérer, il l'a peut-être trouvé avec Jean Marc Furlan. Le technicien français s'était révélé avec Libourne-Saint-Saurin en coupe de France. Avec le club girondin de CFA, il a atteint une fois les huitièmes de finales (2003) et une fois les quarts (2002).

C'est Troyes qui lui donne sa chance en Ligue 1. Il dirige l'ESTAC pendant deux saisons mais doit quitter la Champagne après la relégation du club en 2007. Libre de tout contrat, il rebondit à Strasbourg avec lequel il passe tout près de la montée en Ligue 1 la saison dernière. Le président du RCS, Philippe Ginestet, lui remet alors son C4. Il est depuis sans emploi.

La carrière de l'ancien joueur de Lens et Montpellier est aussi marqué par une affaire. En avril 2008, il insulte l'ancien lyonnais Fabio Grosso de "macaroni de merde". Il est suspendu trois rencontres pour propos racistes par le Conseil national de l'éthique avant d'être relaxé en appel et de présenter ses excuses à l'arrière gauche italien.

Furlan serait très intéressé par le challenge carolo au point de refuser d'autres offres? Reste à voir si les deux parties pourront s'entendre sur le plan financier.

(source : rtbf.be)

Mouscron – RCSC jouera? jouera pas?



A l’heure actuelle, on ne sait toujours pas si la rencontre de ce samedi face à Mouscron sera remise, en effet la Ligue pro va demander au Comité exécutif de l’Union belge la remise de tous les matches de l’Excelsior Mouscron. Et ce jusqu’à ce qu’une décision définitive ait été prise sur le sort du club et sa licence.

(source : mambourg-charleroi.be)

Théréau incertain pour Mouscron



Les Zèbres devront-ils se passer de leur meilleur buteur pour se rendre au Canonnier ce samedi soir? Depuis quelques jours, Théréau se plaint d'une angine. Ce jeudi, l'attaquant n'était toujours pas présent à l'entraînement et le staff ne se montre pas optimiste...

Malgré les problèmes financiers qui touchent actuellement Mouscron, les Carolos tentent de préparer au mieux cette rencontre. Ce matin, ils se sont entraînés dans la bonne humeur. Par contre, toujours pas de fumée blanche concernant le nom du successeur de Stéphane Demol. Mais la décision semble imminente...

(source : La Nouvelle Gazette)

“Chacun doit gérer ses problèmes…”



Badou Kere ne veut pas s’embarrasser de la situation de Mouscron

Les Carolos continuent à préparer le match du Canonnier comme si de rien n’était. D’une part, les joueurs dirigés par Mario Notaro et Michel De Wolf n’alimentent pas leur actualité en s’inquiétant du nom de leur futur entraîneur principal; d’autre part, ils ne peuvent (et ne veulent) pas tenir compte de la situation de l’Excelsior Mouscron, en perpétuel sursis.

Nous avons croisé Badou Kere qui confirme l’information selon laquelle il fera défaut en janvier prochain pour devoir disputer la Can avec le Burkina Faso : “Effectivement, je vais manquer les matches de championnat que Charleroi doit disputer face à Genk, au CS Bruges et à Lokeren. En outre, si nous nous qualifions pour les quarts de finale de la Coupe, je serai absent lors des deux matches – aller et retour – de ceux-ci. Mais c’est la règle, et nous devrons tous nous y plier.”

Dans l’immédiat, c’est le déplacement au Canonnier qui importe. Avec son enjeu aux allures capitales : “Les champions du Standard sont récemment passés par le même contexte. Ils ont abordé le match face aux Mouscronnois dans des conditions assez floues... et ont laissé des plumes dans l’aventure ! Moi, je dis que chacun doit s’occuper de ses propres problèmes. D’autant qu’en ce qui nous concerne, nous n’en manquons pas. Alors, nous ne pouvons pas nous préoccuper de ceux de nos adversaires. Quels qu’ils soient ! ”

(source : dhnet.be)

dimanche 15 novembre 2009

victoire convaincante à Bochum: 1-4



Mario Notaro lançait d’entrée les gros moyens face aux Allemands: Chabbert, Chakouri, Brillault, Guédioura, Orlando, Cordaro, Franquart, Oulmers, Christ, Habibou et Théréau. Grâce à un triplé d’Habibou et un but de Cordaro, Charleroi jubilait.

Les Zèbres ont déroulé en inscrivant pas moins de trois buts dans les vingt dernières minutes, à tel point que le public teuton applaudissait sur chaque touche de balle. Une prestation remarquable, qui peut servir de match référence.

(source : La Nouvelle Gazette)

samedi 14 novembre 2009

Rencontre amicale pour Charleroi à Bochum



Les Zèbres doivent retrouver un esprit de groupe…

Non, ce n’est pas la crise au Mambourg… mais certainement le flou. Dans l’état actuel des choses, il est surtout question de l’engagement d’un entraîneur au poste principal, qu’attendent notamment Mario Notaro et Michel De Wolf avec impatience.

Abbas Bayat, qui s’en veut seul responsable, s’occupe du sujet mais les perspectives restent délicates dans la mesure où le président avoue n’avoir pas encore abordé une piste qui lui convient.

Or le temps presse. D’une part la situation du Sporting est préoccupante, d’autre part les Zèbres disputeront plus que probablement un match capital, dès samedi prochain, au Canonnier.

Après celui de jeudi soir au Tivoli, Charleroi disputera un match amical ce samedi (14h) face à Bochum, à Herne.

Pour la circonstance, Michel De Wolf nous a confié : “Nous avons discuté avec les joueurs qui doivent se sentir mieux concernés. Nous allons aligner une équipe solide dont les éléments doivent se sentir responsables.”

Chabbert sera de retour alors que les jeunes Lazitch, Jehan et Kitoko s’effaceront. Chabaud, dont la lésion au mollet est plus sérieuse que l’on ne pensait, restera aux soins spécifiques.

(source : dhnet.be)

vendredi 13 novembre 2009

“ Pas d’intérêt pour Albert Cartier ”



Depuis quelques jours, une rumeur venait perturber l’étonnante quiétude du Mambourg. Les Zèbres toujours à la recherche d’un coach sont loin d’en connaître le nom. Albert Cartier était fréquemment cité dans le cercle des proches de Charleroi.

Le principal intéressé nie avoir eu le moindre contact avec le club carolo. Mieux, il s’attelle au futur de son équipe grecque, Panthrakikos, dernière en championnat de D1, en préparant le mercato hivernal. Albert Cartier pourrait rester dans son actuel club, même s’il descend en D2.

Nous avons également contacté le président des Carolos, Abbas Bayat, qui dément tout intérêt pour l’ex-entraîneur de Tubize, Mons et du Brussels, entre autres. “ Je ne parle pas avec Albert Cartier. Je ne sais même pas vous dire quand la situation se débloquera. Pour l’instant, aucun candidat ne tient la corde et donc, nous ne communiquons pas à ce sujet ”, explique le président Bayat.

(source : La Nouvelle Gazette)

Charleroi a vraiment besoin d’un coach !




FC Couillet LaLouvière - Sporting de Charleroi : 2-2

FC La Louvière : F. Duquesne; Eputa, Ghislain, Sprio, Van Horick; Fotia, Réal (70e Yattara), Vandenplas (46e Delière), Di Piazza (60e Paci); D. Duquesne; Lamatina.

Charleroi : Baguette; Lella (56e Franquart), Chakouri (56e Jehan), Perdichizzi (56e Brillault), Lazitch (46e Orlando); Iajour (56e Cordaro), G. Théréau (46e Keita), Guédioura (56e Christ), Grisez (56e Habibou); Sergio (56e Oulmers); Mboyo (56e Théréau).

Arbitre : M. Baltieri.

Avertissements : Orlando, D. Duquesne.

Les buts : 12e Iajour (0-1), 28e Lamatina (1-1), 59e Duquesne (2-1), 80e Théréau (2-2).

LA LOUVIÈRE Le Tivoli retrouvait la D1 le temps d’un amical . Pour l’occasion, Charleroi alignait une équipe mixte, dans laquelle seuls Guédioura, Cha-kouri et, éventuellement, Iajour et Mboyo méritaient le statut de titulaires potentiels. Pour le reste, la soirée permettait de (re)découvrir Perdichizzi ou le Binchois Grisez.

La proximité géographique des deux clubs, de même que le duel des publics, conférait à cet amical un aspect sympa. Sur le terrain, l’intensité y était également et dès la 12e, Iajour, en deux temps, ouvrait le score. On pensait les Loups à l’aube d’une correction. C’est le contraire qui se produisit.

Tout en subissant les débats, les locaux profitaient d’une brèche dans le dos de Perdichizzi pour égaliser. En seconde période, et juste après qu’une nouvelle équipe carolo ait fait son entrée, le Sénégalais Keita y compris, les locaux régalaient leurs supporters d’un second but. Duquesne, probablement hors-jeu, déviait dans les filets un centre de Fotia.

Touchés dans leur orgueil, les Carolos réagissaient, mais témoignaient, face au but, de beaucoup trop de nonchalance. On pense à Théréau, contré par Duquesne, et surtout à Habibou, contré par Sprio alors que le but était resté vide quelques secondes. Seul Théréau, suite à une glissade du portier adverse, justifiait sa réputation.

Même si elle était amicale, la partie d’hier ne fut pas rassurante pour un Sporting qui a vraiment besoin d’un coach.

(source : dhnet.be)

Vfl Bochum-RCSC



Ce samedi 14 novembre 2009, le Sporting de Charleroi profitera de la trêve internationale pour disputer une rencontre amicale en Allemagne.

Les Zèbres seront opposés au Vfl Bochum 1848, évoluant en Bundesliga I.

Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 14h00, au Stadion am Schloss Strünkede, dans les installations du SC Westfalia 04 Herne.

(source : rcsc.be)

jeudi 12 novembre 2009

Premier contrat pour Mory-Fallo Keïta !


Le jeune espoir Mory-Fallo Keïta (13/12/1992) vient de signer son premier contrat semi professionnel au RCSC.
Mory Keïta est un attaquant guinéen (1,90 m, 72 kg) qui a participé à plusieurs matches amicaux de début de saison avec l’équipe A du Sporting de Charleroi et qui est régulièrement sélectionné avec les Espoirs de Tibor Balog.

(source : rcsc.be)

Au Tivoli pour se ressourcer…




Les Zèbres conviés à deux matches amicaux en moins de deux jours

C’est Michel De Wolf qui nous avait confié que la trêve internationale (qui pourrait se prolonger d’une semaine, puisque le calendrier du championnat convie les Carolos à un déplacement à Mouscron, le samedi 21 novembre prochain) devrait servir à des joueurs qui ont besoin de se ressourcer.

Ce n’est pas pour autant que les Zèbres seront restés au chômage technique. Loin de là, car en attendant la désignation de leur nouvel entraîneur principal (souhaitée par les intérimaires), ils vont disputer deux matches amicaux en l’espace de quelque quarante-trois heures. L’un ce jeudi soir (19 h) à La Louvière, l’autre samedi après-midi (14 h) à Bochum.

Nous avons fait le point avec Mario Notaro : “La semaine se passe plutôt bien malgré la situation délicate que vous savez. Nous avons choisi d’aller de l’avant.”

Le court déplacement d’aujourd’hui au Tivoli impliquera tous les éléments disponibles : “Nous emmenons tout le monde, et ce sera encore le cas pour le voyage en Allemagne. Il y a forcément des défections, à commencer par nos internationaux que sont Kere, Diallo, Al Hosni, Mujangi Bia et Kage. De plus, si Chabbert, qui se plaint d’une contracture à la cuisse, et Chabaud, qui est contrarié par un mollet, nous accompagnent, ils pourraient juste trottiner ou bien se contenter de soins. En outre, Habibou est malade.”

Des jeunes issus du groupe des espoirs seront de la partie : “Fabris – mais qui ressent les effets d’un coup direct – ainsi que Perdicci, Lazitch, Théréau, le jeune frère de Cyril, Kitoko, Keita, qui est revenu du Sénégal, et Jehan, qui relève d’une lourde opération au pied, seront avec nous.”

(source : dhnet.be)

Guédouira s’explique sur le cas Demol



Le joueur français de Charleroi avait été considéré par beaucoup comme la pomme pourrie du groupe carolo, il aurait même été une des causes du départ de son entraineur Stéphane Demol selon certains. Adlène Guédouira a décidé de mettre les choses au clair, et s’exprime sans langue de bois.

« Je ne cherche pas à polémiquer et à raconter ce qui se passe dans le vestiaire. Le faire, ce serait sortir de mon rôle. Stéphane Demol n’a pas respecté deux règles : l’une qui crée la cohésion dans toute vie de groupe, à savoir que le linge sale se lave en famille ; et l’autre, fondamentale, quand on est un salarié, à savoir que le patron a toujours raison. En faisant cela, il s’est tiré une balle dans chaque jambe. Qu’il assume pour une fois » dit il dans le Sport Foot Magazine de cette semaine.

Il ajoute : « D’abord, il n’y a jamais eu d’ « affaire Gédioura ». Faut pas tourner autour du pot. Demol restait sur un 2/15 et voyant le calendrier chargé arriver, il a préféré se tirer que se faire virer. Pour Demol j’étais un alibi. Il cachait ses mauvais résultats par des prétendus conflits. Il a confirmé son manque d’honnêteté en pliant les bagages le jour du match. Ce n’était pas avant, ni après mais le jour même. »

Concernant son accrochage avec Madjid Oulmers, il dit « C’était un accrochage comme il en existe dans tous les clubs. Ici, on en parlé car les médias étaient présents ce jour-là. Mais des bagarres, il y en avait avant. Et Charleroi n’est pas seul dans le cas. Pour être clair, il fallait prendre de la distance par rapport aux évènements. Logiquement, ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. Mais quand vous avez un coach qui entretient les fuites, ça ne peut que créer des embrouilles entre les gens. A partir de là, la relation de confiance, elle est fichue. Au lieu de créer une famille-même si en foot, on sait que c’est un leurre-, il a préféré essayer de monter les joueurs contre moi car, je le répète, il avait besoin de créer un évènement qui cache son bilan. Mais ça n’a pas marché… »

(source : footgoal.net)

mercredi 11 novembre 2009

On attend la fumée blanche…



Le nouvel entraîneur du Mambourg ne sera pas un faiseur de miracles !

Oui, nous avons été un peu dur avec les Zèbres en écrivant qu’ils étaient majoritairement des joueurs moyens qui devaient ponctuellement se surpasser. Ce dont ils sont d’ailleurs capables. Nous préférons relever que les pensionnaires du Mambourg sont plutôt de bons joueurs... mais qui doivent quand même se surpasser pour atteindre les objectifs utopiques de ceux qui les emploient.

Mais dans l’état actuel des choses, il faut se pencher sur l’avenir (sportif) incertain d’un club qui risque de plus en plus le pire scénario, auquel il a échappé depuis presque trente ans : la relégation en D2 !

Nous répétons que sans une prise de conscience de la situation exacte, le danger est réel.

Or les Carolos ne savent plus où ils en sont.

Dans l’immédiat, il s’agit de savoir quel homme-miracle pourra remettre l’équipe sur rails. Car nous sommes tous dans l’attente d’une action d’Abbas Bayat qui va inéluctablement désigner un nouvel entraîneur principal.

Celui-ci ne s’apparentera pourtant pas à une panacée. D’une part, Michel De Wolf et Mario Notaro sont suffisamment compétents pour assurer l’essentiel, d’autre part le redressement du Sporting ne peut venir que des hommes déjà en place. Au lieu de se convaincre (sans plus jamais convaincre personne) que rien ne peut leur arriver de fâcheux parce qu’ils sont sûrs de leurs qualités, les gens du Mambourg doivent comprendre qu’il est grand temps de revêtir leur bleu de travail !

Nous sommes curieux de découvrir celui qui relèvera le défi qu’on lui imposera.

Quoique, comme à tous ses prédécesseurs, on ne lui demandera que d’assurer le maintien…

(source : dhnet.be)

lundi 9 novembre 2009

Les Zèbres face à la réalité des choses…



Cinq points sur vingt et un à domicile pour le Sporting hennuyer. Seul le RC Genk pouvait rester en deçà d’un tel bilan partiel avant son match d’hier face à Anderlecht.

En attendant, le Mambourg n’a jamais été aussi désertique, tandis que les supporters, qui s’accrochent, grondent.

La situation a de quoi inquiéter : “C’est désolant et catastrophique !” nous témoignait, la mine déconfite, Majid Oulmers samedi matin.

Toujours est-il que voilà Charleroi directement menacé, les résultats de la quatorzième journée du championnat aidant, aussi bien par la relégation immédiate que par les barrages plus qu’aléatoires.

e capitaine des Zèbres traduit l’état d’esprit : “Nous ne nous amusons plus sur le terrain où nous ne nous trouvons plus. Même que disputer un match est devenu une contrainte.”

De quoi renforcer l’idée de Michel De Wolf selon laquelle la trêve vient à point pour des joueurs qui ont grandement besoin de se ressourcer.

Il est temps aussi que les pensionnaires du Mambourg, tous confondus, fassent le point au départ d’une solide prise de conscience de l’énorme danger qui guette.

Car le moment est peut-être (sans doute) venu de faire le procès d’une politique. À force d’une autosatisfaction continue, les responsables carolorégiens ont toujours appliqué dangereusement la méthode Coué.

Ils ont régulièrement évoqué leur effectif en soulignant qu’ils s’appuyaient sur des “perles rares”. Ou bien sur l’un ou l’autre “génie” que tout le monde leur enviait. Ou bien encore que leur entrejeu était “magique”.

Or il faut convenir une fois pour toutes que le recrutement du Sporting (avec un mouvement perpétuel qui nuit à un groupe) recèle des éléments “moyens”. Qui ont besoin de se surpasser pour être performants… et faire illusion !

(source : dhnet.be)

Charleroi parmi les 7 villes belges candidates



Les 12 villes candidates à accueillir la Coupe du monde de football en 2018 ou 2022 si l'organisation belgo-hollandaise est choisie ont été dévoilées. On retrouve sept belges dont Bruxelles, Liège et Charleroi.

Les douze villes candidates ont ratifié ce lundi à Eindhoven leur engagement en apposant une signature symbolique sur la carte des deux pays. Bruxelles, Anvers, Bruges, Charleroi, Gand, Genk et Liège, au même titre que cinq villes néerlandaises (Amsterdam, Eindhoven, Enschede, Heerenveen et Rotterdam) figurent sur cette carte qui a été dévoilée par le nageur néerlandais Pieter Van den Hoogeband et les footballeurs belges Paul Van Himst et Jean-Marie Pfaff au siège de "The HollandBelgium Bid", le comité organisateur pour la candidature commune.

En tout, quatorze stades sont prévus, sept dans chaque pays. Aux Pays-Bas Amsterdam et Rotterdam disposeraient de deux stades.

Les lieux précis le 15/12

Les lieux d'implantation des stades, qui devront accueillir au minimum 40.000 personnes, seront connus lors de la remise officielle des dossiers de présentation qui devront être rentrés pour le 15 décembre à la Fédération Internationale de football.

Le match d'ouverture devrait avoir lieu à Bruxelles, la finale aux Pays-Bas. Les noms des pays sélectionnés pour l'organisation des Mondiaux 2018 et 2022 seront dévoilés en décembre 2010.

La présence de Charleroi parmi ces villes ne doit pas être pour plaire à Ingrid Colicis. Il y a deux semaines, l'échevine PS des Sports avait fait savoir que l'accueil par la Ville de Charleroi du Mondial serait, selon elle, "impayable".

(source : atcua24.be)


La localisation des stades se précise, Charleroi à la traîne

Les 7 villes belges et 5 néerlandaises candidates pour accueillir le Mondial 2018 ou 2022 de football ont été présentées lundi à Eindhoven, le centre névralgique de "The HollandBelgium Bid", le comité organisateur de la candidature commune belgo-néerlandaise. Les bourgmestres et représentants des villes de Bruxelles, d'Anvers, Bruges, Charleroi, Gand, Genk et Liège, au même titre que les responsables des entités néerlandaises d'Amsterdam, Eindhoven, Enschede, Heerenveen et Rotterdam ont ainsi ratifié leur engagement en apposant une signature symbolique sur la carte des deux pays.
La plupart des lieux de localisation des stades sont connus ou feront l'objet d'une décision dans les prochains jours, sauf à Charleroi ou plusieurs pistes doivent encore être étudiées, à seulement un mois de la remise officielle des dossiers de présentation à la FIFA. Si l'on se dirige vers le choix des sites du Stade Roi Baudouin pour Bruxelles (pour 2018), de la Cristal Arena à Genk, de la Chartreuse pour Bruges, de l'Arteveldestadion pour Gand et de Petroleum-Zuid à Anvers, Liège et Charleroi doivent encore trancher. "Il y a deux, ou même trois possibilités mais c'est le club du Standard de Liège qui déterminera le choix final", déclare-t-on du côté des autorités liégeoises.

(source : rtl.be)

dimanche 8 novembre 2009

Revisionnez le reportage sur le boycott de vendredi au Week-End Sportif du 8/11

Revisionnez le Week-End Sportif du 8/11 | RTBF SPORT

Charleroi, ce grand malade



Le désamour entre les fans et leur club n’en finit plus de prendre de l’ampleur

C’est triste de voir un club qui perd petit à petit l’identité et l’esprit qui faisaient sa force jadis. Vendredi, il y avait bien sûr cette action de boycott de 200 personnes tenues pour “une minorité de crétins” par Mogi Bayat. Le hic, c’est qu’elle constitue la face la plus visible d’un malaise autour d’un cercle de plus en plus coupé de son assise populaire, de son terreau, de sa cité.

Car, n’en déplaise à ses patrons, ce Sporting-là est un grand malade ! Refusant le boycott, la majorité du kop était pourtant présente et plutôt bien en voix pour soutenir les Zèbres. Mais au fil du match, les sifflets et les quolibets tant envers les joueurs (”On se fait ch… !”, “Bougez vos c… !”) que les dirigeants (”Qui ne saute pas est un Bayat !”) prirent le dessus.

“On se fout de notre gueule !”, était un des slogans résumant assez bien l’état d’esprit du peuple de la T4.

Seront-ils encore moins la prochaine fois ? On peut le craindre après les avoir entendu encourager les Buffalos ou crier “Et 1, et 2, et 3-0 !”

Smolders, accueilli comme il se doit, fut à deux orteils de les exaucer.

Existe-t-il un entraîneur sur le marché capable de venir remettre de l’ordre dans tout ça ? James Bond est déjà pris ! Le kop a bien un favori… Il s’appelle Brogno ! Mais un retour de l’icône est-il possible ? En attendant, Notaro fait ce qu’il peut : “C’était plus ou moins le même dispositif qu’à Zulte et il n’y avait donc pas de raison d’assister à ça. On s’est fait bouffer, surtout dans l’entrejeu. Il n’y avait pas de jus… Le fait est que nous avons perdu quasi tous nos duels. Ne nous voilons pas la face : c’était mauvais ! Je me refuse cependant à parler de crise. La situation n’est pas grave, même s’il faut réagir au plus vite.”

Bien plus grave que la défaite face à La Gantoise c’est la mauvaise ambiance qui règne autour du Sporting Charleroi qui inquiète…

(source : dhnet.be)

(photo : zebros)

Et le club en crise est... Charleroi !




Des deux équipes au bilan récent famélique, c'est La Gantoise qui sort la tête de l'eau avant la trêve internationale.


Michel Preud'homme qui n'était pas sur la sellette même si le manque de résultats commençait tout doucement à entamer la patience de ses dirigeants, avait cherché de nouvelles solutions.

Tim Smolders était ainsi privé d'un retour au Mambourg en habits de titulaire et était en compagnie de El Ghanassy sur le banc.

Côté carolo, le duo intérimaire Dewolf-Notaro restait lui dans la continuité de son premier match, à l'exception d'une permutation de petits formats, entre Christ et Cordaro. Mais les deux secouristes (avec cette fois plus clairement le Clabecquois aux commandes) pouvaient déjà grimacer après dix minutes. Quand un coup-franc plongeant de Maric était repoussé par Chabbert dans les pieds de Wils, très légèrement hors-jeu, qui n'avait plus qu'à conclure.

Vite menés, les Carolos, qui auraient pu être aussi sanctionnés d'un penalty (accrochage de Brillault sur Leye) ne réagirent que sporadiquement. Le plus souvent par l'entremise du percutant Mujangi Bia, d'abord décalé sur la gauche puis placé en pointe après la pause, Al Hosni souffrant de nouveau des adducteurs. Mais pas de quoi fondamentalement inquiéter Jorgacevic, le gardien gantois. Ni apaiser le maigre public local (amputé de plus de 200 contestataires).

Alors que Ljubijankic et Lepoint avaient manqué de tuer le match plus tôt, les Zèbres sortaient, en désespoir de cause tout leur attirail offensif en faisant monter Mboyo et Iajour. Mais même avec quinze attaquants, ce Sporting-là aurait été incapable de modifier la donne. D'autant que Custovic, lui, seul face au gardien carolo, ne loupait pas l'aubaine.

Et pour accompagner leur fin de prestation désolante, les Zèbres eurent en plus droit à la colère de leurs fans. Sifflets, ovation pour Tim Smolders, encouragement des Gantois, chants ironiques à la gloire de la direction... C'est reparti pour un (mauvais) tour au Pays Noir...


(source : actu24.be)

“Nous sommes dans le trou !”



Sébastien Chabbert ne se voile pas la face mais se veut positif

Il ne faut pas camoufler l’évidence. L’ambiance était plutôt morose, samedi matin au Mambourg, où les joueurs étaient de retour d’une course dans le bois en guise de décrassage. Rien de tel pour évacuer les frustrations de la veille.

Nous avons demandé à certains Zèbres s’ils avaient une solution pour sortir ceux-ci d’une crise désormais existante, et surtout pour les remettre sur rails au classement d’un championnat qui leur échappe totalement.

Sébastien Chabbert s’est exprimé : “Nous sommes dans le trou. Imaginez que nous avions relevé que les Gantois étaient des champions de l’efficacité sur coups de pied arrêtés. Nous avions soigné tout particulièrement ce cas de figure lors des entraînements de la semaine. Or, il aura suffi du premier coup franc du match pour que nous soyons surpris. Même si après coup, nous avons constaté qu’un Gantois était en position hors jeu sur cette phase de jeu.”

Existe-t-il des solutions ? “Nous devons nous vider la tête et profiter de l’interruption. Je continue à croire que nous avons (NdlR : ou plutôt, avions…) les qualités pour nous situer dans le Top 6. Je reste convaincu que nous les avons toujours mais il faut que celles-ci servent au collectif. Or ce n’est pas le cas.”

Un autre regret : “Nous n’avons pas réagi comme cela avait été le cas à Waregem. Il faut retrouver du plaisir…”

Michel De Wolf confirmait que la trêve pouvait aider les Carolos à se ressourcer.

(source : dhnet.be)

samedi 7 novembre 2009

Les supporters ont boycotté dans le calme



Une partie des supporters des Zèbres avait appelé au boycott de la rencontre face à La Gantoise. Appelés “ Les crétins réunis ”, ils ont rejoint le stade en cortège mais sont restés en dehors de l’enceinte pour protester contre les choix

Depuis le début de la saison, nous sommes habitués à ce que le Stade du Pays de Charleroi sonne presque creux, avec une assistance relativement faible (environ 7.000 supporters). Mais, hier soir, ils étaient moins nombreux encore à parsemer la T4, tribune des plus fervents admirateurs des Zèbres. C’est surtout l’étage supérieur de cette même tribune qui était presque vide. C’est surtout des membres de l’Amicale des supporters du Sporting de Charleroi, notamment une grande partie des Storm Ultras, qui brillaient par leur absence. D’ailleurs, sans les Storm Ultras, il manquait singulièrement d’ambiance. Ils avaient promis le boycott de la rencontre suite à la démission de Stéphane Demol et, disent-ils, la façon dont les dirigeants gèrent le club. Avant la rencontre, les contestataires ont manifesté leur mécontentement par un cortège en direction du stade et, pour certains, en ne mettant pas les pieds dans la tribune. Seuls quelques-uns d’entre eux sont venus appuyer leur contestation avec un calicot: “ Carolo, réveille-toi et boycotte. ” Avec, officiellement (on a du mal à y croire), 6.704 spectateurs, l’ambiance était définitivement au plus bas.

(source : La Nouvelle Gazette)