samedi 31 janvier 2009

RCSC-La Gantoise : la sélection



Ce dimanche 1er février, à l'occasion de la rencontre RCSC-La Gantoise, Monsieur John Collins composera au départ du groupe suivant :
Laquait, Baguette, De Wolf, Defays, Kere, Vandenbroek, Moia, Sbai, Chabaud, Sergio, Chiarelli, Leila, Fabris, Miceli, Mujangi Bia, Nboyo, Théréau, Iajour, Di Giugno, Habibou, Makiese.

Suspendus : Camus, Chakouri.

Blessés : Diallo, Jehan, Oulmers, Orlando.

Pas encore qualifiés pour cette rencontre : Grégoire, Joneleit, Souza Oliviera, Guédioura.


(source : rcsc.be)

"Un coup de barre et ..."



Damien Miceli estime qu'un succès probant relancerait les Zèbres

Si le Sporting hennuyer ne tourne pas rond, il existe pourtant l'un ou l'autre Zèbre qui tire encore son épingle du jeu.

C'est assurément le cas de Damien Miceli qui n'a jamais déçu à chaque fois que l'on a fait appel à lui - généralement en cours de match - et qui a carrément pris du galon en exploitant ses récentes titularisations.

Il fut d'ailleurs le plus méritant des éléments de son équipe lors du naufrage roularien : "J'ai été employé à différents postes. Que ce soit en qualité de défenseur latéral gauche, de médian gauche ou bien de médian axial avec un rôle plus défensif afin de pallier l'absence de Sébastien Chabaud. C'est vrai que ma courbe est plutôt positive mais je sais que rien n'est acquis et qu'il faut se battre chaque semaine."

Le transfuge de Maestricht (il accomplit sa deuxième saison à Charleroi, dans son fief) ne peut, en outre, se montrer satisfait de l'état actuel des choses : "C'est le résultat de notre rendement collectif qui compte."

Et de ce côté, les choses n'évoluent certainement pas dans le bon sens : "Il est dommage que nous devions regarder dans le rétroviseur mais nous allons assimiler les directives de notre nouvel en traîneur. Et cela finira certainement par payer !"

N'empêche, désormais, le temps presse. À ce point qu'une nouvelle contre-performance des Carolos face aux Gantois les placerait, à coup sûr, dans le rouge : "Il ne faut pas examiner les choses sous cet angle. Nos adversaires de ce week-end sont dangereux ? Sans aucun doute, mais on connaît le Sporting qui est capable de rebondir dans les grandes circonstances. Nous faisons chaque fois le maximum et nous allons poursuivre de la sorte. Alors, nous devrions en être récompensés."

On a un peu l'impression que les troupes de John Collins vont jouer une sorte de quitte ou double, ce dimanche. Damien Miceli n'envisage que le succès : "Si nous venons à bout des Gantois, nous serons repartis de l'avant. Nous allons retrouver l'attachant Tim Smolders qui faisait l'unanimité au sein du groupe... mais cette fois, il repartira bredouille du Mambourg. Car nous allons donner le coup de barre !"


(source : dhnet.be)

Christophe Grégoire à Charleroi jusqu'en juin !



Le Sporting de Charleroi a conclu avec Christophe GREGOIRE, un accord sur un contrat de 6 mois avec option d’achat de deux ans..

Christophe GREGOIRE est né le 20 avril 1980, à Liège.

Il a été international belge. Sa dernière sélection avec l’équipe nationale eut lieu le 21 novembre 2007.

On relèvera à son actif, 199 matches en Division 1 sous les maillots de Mouscron, Anderlecht et La Gantoise et 25 matches avec le club hollandais de Willem II.

Notre nouveau milieu gauche mesure 1m 86 pour 80 kg.

(source : rcsc.be)


Le Liégeois ne quittait pratiquement plus le banc à Willem II

Cet après-midi, Christophe Grégoire avait trouvé un arrangement personnel avec le Sporting de Charleroi qu'il a donc préféré à Mons. Dans la foulée, le club néerlandais et le Sporting ont trouvé un arrangement. Le Liégeois, deux fois Diables Rouges sous René Vandereycken mais qui moisissait sur le banc à Willem II, est prêté au Sporting carolo jusqu'en fin de saison avec option d'achat.

(source : dhnet.be)


Grégoire en prêt à Charleroi

Hier soir, nous vous parlions d'un retour possible de Christophe Grégoire en Belgique. Le club de Willem II a annoncé ce vendredi soir le prêt du joueur à Charleroi pour une durée de six mois avec option d'achat.

Arrivé en janvier 2008 à Willem II, Christophe Grégoire est prêté par le club batave au Sporting de Charleroi pour le reste de la saison avec option d'achat. Le joueur était libre de trouver un club depuis décembre dernier à la suite de discussions avec la direction du club néerlandais.

Christophe Grégoire est néanmoins toujours sous contrat jusqu'en juin 2010 avec Willem II.


(source : footgoal.net)

Marcelo chez les zèbres !


Marcelo SOUZA OLIVIERA, né le 7 juin 1988, vient de signer un contrat le liant avec le Sporting de Charleroi jusqu’en juin 2009 avec option d’achat. Notre nouvel arrière central est droitier, il portera le n°13.

(source : rcsc.be)

vendredi 30 janvier 2009

La fin de mercato est chaude à Charleroi!

Après Moia (La Gantoise) et Guédioura (Courtrai), deux défenseurs ont signé hier selon la même formule: un prêt de six mois avec option d’achat.

Deux défenseurs de grande taille, réputés sobres mais durs sur l’homme. Il s’agit du Brésilien Marcelão, venant de la EC Juventude (ainsi que nous l’annoncions en exclusivité dès mercredi) et de l’Allemand Torben Joneleit (photo), qui arrive de l’AS Monaco.

Mogi Bayat nous les présente: “ Joneleit est un défenseur central gaucher de 21 ans qui mesure 1,87 m. Il ne jouait pas en première à Monaco, mais John Collins le connaît bien pour l’avoir eu en prêt à Hibernian, alors qu’il appartenait déjà à Monaco. C’est donc une demande spécifique de notre coach. Il est allemand et a joué en équipe nationale dans toutes les classes d’âge. Marcelão, lui, est un défenseur central droitier, mesure 1,90 m et vient du même club que Dante. Ils vont nous apporter de la taille et de la concurrence dans le groupe. ”

Certaines rumeurs font état, par ailleurs, d’un accord entre le Montois Cordaro et le Sporting de Charleroi pour la saison prochaine, ce que Pierre-Yves Hendrickx dément catégoriquement. Mais la priorité, c’est évidemment ce mercato d’hiver qui n’est probablement pas terminé à Charleroi, qui vise sans doute l’un ou l’autre renfort offensif.

En attendant, Marcelão et Joneleit vont découvrir leurs nouveaux équipiers mais, tout comme Guédioura, ils ne seront évidemment pas qualifiés pour le match de dimanche contre La Gantoise. Mais bien pour le suivant, au CS Bruges.

Enfin, le jeune attaquant “ espoirs ” Dutrieux est apparemment en route pour l’US Centre."


(source : La nouvelle Gazette)

Torben Joneleit est Zèbre !



Le Sporting de Charleroi et l'AS Monaco ont conclu ce soir un accord de prêt avec option d'achat relatif au défenseur central germano-monégasque Torben Joneleit, né le 17.05.87.

Ce jeune nouvel élément d'1m87 (international -20 et -21 ans avec l'Allemagne) passera les tests physiques dès ce vendredi et retrouvera John Collins, avec qui il avait déjà travaillé à Hibernian.

(source : rcsc.be)

Christophe Grégoire à Charleroi ?



Il pourrait rejoindre l'un des deux clubs hennuyers

Mogi Bayat fait le forcing à l'approche de la clôture du mercato d'hiver. Si le défenseur brésilien Marcelao était bloqué à Madrid hier, c'est autour d'autres dossiers que cela s'est activé.

Tout d'abord autour de Christophe Grégoire. Le club carolo est intéressé par un prêt de six mois (avec option d'achat). Le salaire resterait pris en charge par Willem II. Comme il ne joue plus, le club néerlandais espère, en le mettant en vitrine ailleurs, récupérer dans six mois une partie des 700.000 euros investis à l'époque.

Mais... Mons est également sur les rangs et est partant pour une formule identique. Dans ce dossier, une décision doit tomber avant samedi. Elle sera sans doute prise ce vendredi.

Ce n'est pas tout : Mogi Bayat fait le forcing pour attirer Alessandro Cordaro. Nous écrivions hier qu'il serait carolo en juin. Il pourrait l'être dès janvier. Le Sporting lorgne aussi sur un autre Montois : Hocine Ragued, qui présente également une dernière touche à l'étranger (la réponse est attendue ce matin).

Mogi Bayat a rencontré Dominique Leone (qui lui a fait comprendre qu'il n'appréciait pas que Charleroi marche sur les plates bandes de Mons pour Grégoire) et Christophe Dessy hier après-midi. Un échange entre Ragued et Cordaro d'un côté et Chabaud et Rémi Sergio de l'autre a été évoqué. Avec ou sans, selon les sources, une somme d'argent en plus à percevoir par Mons.

Toujours au Tondreau , les noms circulent déjà pour remplacer Dahmane. Outre un joueur de D2 belge, Nicolas Goussé, un ancien de la maison qui peut quitter Nantes, est cité et potentiellement intéressé. Mais ce ne serait pas la piste prioritaire.

(source : dhnet.be)

jeudi 29 janvier 2009

Les brèves.

* Sébastien Chabaud, le milieu de terrain français souffre toujours de maux de dos. On devrait en savoir un peu plus ce jour si il sera en mesure de tenir sa place dimanche face a La Gantoise.

* Geoffrey Mujangi Bia ressent encore une douleur à l’arrière de la cuisse et ne s’est pas entraîné. Fabien Camus est lui aussi resté aux soins. Quant à Orlando, il ressent une gêne aux adducteurs tout le contraire de Badou Kere qui lui ne ressent plus aucune douleur (adducteurs).

(source : mambourg-charleroi.be)

* Selon la DH, le médian Alessandro Cordaro (photo) quitterait le RAEC Mons pour le Sporting de Charleroi en juin prochain. Il n’est plus secret que le médian belge d’origine italienne voulait changer d’air depuis un petit temps

(source : footgoal.net)

"Il y a un problème de mentalité à Charleroi"

«Avec la même motivation que Tubize, Charleroi n'aurait pas tous ces problèmes! »

Le commentateur de Belgacom 11 vous donne son avis sur le match de ce dimanche à 18 heures entre Charleroi et La Gantoise.


On ne peut pas vraiment dire qu'il y a déjà un effet Collins à Charleroi, du moins pas dans les résultats?

En effet, Collins a peut-être changé beaucoup de choses mais cela prend du temps pour se concrétiser... On ne voit en effet pas encore de changements. J'ai pourtant aimé son discours « Il faut plus de mouvements dans l 'équipe ». Je dois avouer que je ne comprends toujours pas pourquoi la direction a décidé de remplacer Siquet. L'équipe est bonne mais elle est irrégulière, elle est capable du meilleur comme du pire... Il y a certainement un problème de mentalité dans le groupe.

Vous ne pensez donc pas que les problèmes se situent en dehors du vestiaire?

J'ai le sentiment que dans le Hainaut, les clubs (Charleroi, Mons, Mouscron) dépendent toujours d'un homme fort qui n'est plus si fort que cela... On a l'impression qu'aussi bien Bayat, Leone ou Dufermont se posent la question de savoir s'ils vont continuer ou pas. Je ne dis pas que c'est la réponse à tous les problèmes mais je ne crois pas que cela contribue à évoluer dans des conditions idéales.

Pour ne rien arranger, Charleroi ne possède que trois points sur la place de barragiste de Tubize...

Il faut tout de même avouer que pour l'instant, les Carolos n'ont pas beaucoup de chance. Contre Roulers, il y a eu cette transversale... Au Sporting, il est temps de regarder vers le bas car c'est vrai que le club ne possède pas beaucoup de points d'avance sur les menacés par la relégation. Les joueurs ne montrent pas vraiment l'impression de s'en rendre compte... Pourtant, il y a urgence!

Quand on regarde le bas de classement, Malines, le Beerschot et même Tubize semblent dans une bonne spirale pour se maintenir, contrairement à Charleroi...

Si les Carolos pouvaient avoir la moitié de la même motivation que Tubize, ils se sauveraient sans problème. Les joueurs se doivent de se réveiller pour sauver une saison désastreuse. Ils doivent bien cela à leurs supporters. Au mieux, ils pourront jouer le rôle d'arbitre dans leur duel contre Anderlecht et le Standard. Charleroi a besoin d'une belle victoire pour se relancer et quand je dis belle, c'est avec la manière!

Charleroi va affronter La Gantoise ce dimanche, et en début de saison, les clubs avaient pourtant les mêmes ambitions...

Quand La Gantoise perd, ce n'est pas un drame. On sait que cela va se mettre bout à bout, qu'il faut laisser du temps pour construire une équipe compétitive. Il existe une perspective à long terme tandis qu'à Charleroi, on a l'impression que l'avenir du club se décide tous les lundis! Pourtant, Moggi connait le football et fait du bon boulot à Charleroi. Il s'est rarement trompé ces dernières années. C'est peut-être la première fois que le club, sous l'ère Bayat, a des problèmes de gestion d'équipe... Les dirigeants doivent donc certainement avoir aussi une part de responsabilité...

(source : dhnet.be)

mercredi 28 janvier 2009

Adlène Guédioura est Zèbre !



Le médian défensif français Adlène Guédioura, en provenance du KV Courtrai, s’est engagé en faveur du Sporting de Charleroi, ce mercredi matin.

Le joueur (1, 86m et 79 kg) a signé un contrat d’une durée d’un an et demi, assorti d’une option de 2 ans.

Il ne sera pas encore qualifié pour disputer la rencontre de dimanche, contre La Gantoise

Première réactions

Adlène, bienvenue au RCSC. Peux-tu nous retracer ton parcours sportif ?
Cette saison, j’évoluais déjà en D1 belge, puisque j’arrive du KV Courtrai. J’ai disputé une dizaine de matches en Jupiler Pro League. Avant cela, j’ai joué en France. L’année passée, j’étais à l’US Créteil. Auparavant, j’étais à l’Entente Sannois Saint-Gratien et avant cela, à l’Olympique Noisy-le-Sec.

Tu porteras le n°5, au sein de l'effectif. Quel est ton poste de prédilection?

Je suis un médian défensif.

Évidemment, tu connaissais déjà un peu le Sporting de Charleroi…

Oui. Bien sûr que je connaissais Charleroi. Je suis déjà venu assister à plusieurs matches ici, au Stade du Pays de Charleroi. De plus, j’ai joué contre le Sporting cette saison. Maintenant, je suis ici pour Charleroi, pour jouer pour Charleroi. C’est ma priorité.


(source : rcsc.be)


Adlène Guédioura est zèbre

Charleroi ne ménage pas ses efforts dans la dernière ligne droite du mercato

En début de semai-vne, Mogi Bayat admettait que le noyau carolo était "déséquilibré" . C'est tout à son honneur, même si ça fait une belle jambe à... Siquet. Le manager carolo joint le geste à la parole en se démenant comme un beau diable. La piste du défenseur brésilien attendu en vain lundi semble toujours d'actualité. Il s'agirait selon certaines sources de Marcelao, un costaud de 20 ans. Et hier, le Franco-Algérien Adlène Guédioura s'est entraîné avec les Zèbres .

Solide médian défensif de 23 ans, au caractère bien trempé, il fut l'un des hommes en vue de Courtrai en début de saison. À la mi-décembre, il se brouilla avec Vanhaezebrouck pour une histoire de placement sur un coup franc. "Je ne jouerai plus jamais pour Courtrai" , déclara celui qui refusa de s'excuser (Hein était prêt à passer l'éponge à cette condition) et fut versé dans le noyau B à la reprise. Il n'y témoigna pas d'une folle assiduité et vient donc d'être libéré par les Flandriens.

Ce mercredi, le futur numéro 5 carolo confiait : "J'espè- re saisir ma chan- ce avec l'appui de nombreux compatriotes qui faciliteront mon intégration."

Il a signé pour 1,5 an (ce qui lui restait à Courtrai) + option (2 ans) et ne sera pas qualifié dimanche. Neuf fois titulaire au KVK, il avance 685 minutes et 4 jaunes dans notre D1. Doté d'une belle vista, adepte des tirs à distance et se réclamant de... Maradona, le garçon a été formé à Sedan. Il jouait à Créteil avant d'aller à Courtrai et est international Espoirs algérien.

(source : dhnet.be)

Siquet sort du bois



Viré de Charleroi le 15 décembre et attaqué entre les lignes depuis, il répond

Thierry Siquet a fait preuve d'une grande dignité lorsqu'il était à la tâche au Mambourg, encaissant les coups sans réagir.

Limogé, il n'a pas plus moufté . Mais voilà qu'un mois et dix jours après son éviction, le mutisme n'a plus cours : échaudé parce qu'il lit et entend çà et là, il nous livre son argumentaire de défense.

Thierry, que vous inspire la très mauvaise passe actuelle des Zèbres ?

"Je suis un peu déçu pour certains qui sont encore là-bas, mais je n'y travaille plus et, pour le reste, ce n'est donc plus mon problème ! Et je n'ai pas de regrets non plus..."

Ce qui se passe au Sporting vous surprend-il ?

"Oui et non. Oui parce qu'un changement d'entraîneur est censé déboucher sur quelque chose de positif. Ici, la sauce n'a pas encore pris... Non parce qu'il ne fallait pas croire que tout allait changer du jour au lendemain malgré les petites modifications et l'approche différente que peut amener la nouveauté. Des fois, ça marche; dès fois, pas ! Les bases du travail sont les mêmes et, que je sache, le noyau de l'équipe n'a guère chan- gé..."

Mogi Bayat a qualifié John Collins de Mère Thérésa, tant les blessés chroniques furent subitement retapés à son arrivée au club.

"C'est toujours ainsi... Quand un nouvel entraîneur débarque, il faut lui montrer qu'on est là le plus vite possible. Et ça ne concerne que quelques joueurs..."

Après le deuxième jour de l'Ecossais, le même a également estimé, nous citons, que le tempo était déjà plus élevé à l'entraînement.

"Oui, j'ai vu ça. Normal, hein, la direction ne va quand même pas dire que c'était mieux avec celui qui a été dégagé..."

Votre successeur est sans cesse présenté comme le professionnel absolu. Implicitement, c'est vous qui êtes attaqué ! Une réaction ?

"Je lis pas mal d'insinuations du genre, effectivement... Déjà, visionner un adversaire me semble normal dans notre métier. À notre époque, avoir recours à la vidéo également. Des mises au vert ? Il y en a eu aussi avec moi, mais je constate que beaucoup de choses se débloquent ces derniers temps. Moi aussi, j'avais émis quelques souhaits, vous savez... Tiens, Moia ! Mais ce n'était pas possible, nous étions bloqués financièrement... Je vois que ça a manifestement évolué ! Tant mieux pour Monsieur Collins. J'espère d'ailleurs pour lui qu'il obtiendra les renforts qu'il réclame."


"Comme si j'étais de passage...."

Le Hutois a connu une relation très délicate avec Abbas Bayat

Thierry Siquet n'a pas eu la vie facile en tant qu'entraîneur du Sporting Charleroi. Confessions.

Le flirt avec le Club Bruges : "Dommage... L'intérêt du Club Bruges était gratifiant; le veto de Charleroi aussi. Finalement, je me demande pourquoi on m'a gar- dé..."

Abbas Bayat : "Chacun sait que nos relations n'étaient pas au beau fixe. Je me suis toujours senti comme si j'étais de passage. J'étais là par défaut et je n'ai jamais bénéficié de son soutien publiquement. Quand il m'attaquait via la presse, car il ne m'a jamais rien reproché en face, je préférais ne pas mettre d'huile sur le feu. Regardez si on ne travaillait pas assez (NdlR : il sort des stats ) : faux ! Il y avait autant de séances que maintenant. Quant aux fameux trois jours de congé qui m'ont été reprochés, ils n'ont jamais existé ! C'était un et demi pour certains et deux pour d'autres."

Mogi Bayat : "Il n'a jamais essayé de m'imposer l'équipe. De toute façon, je suis têtu et la gestion des cas Pino et Benjelloun parle pour moi."

Son bilan : "J'ai repris le groupe dans des conditions difficiles et nous avons terminé à la cinquième place du deuxième tour de 2007-08. Puis, il y a eu des hauts et des bas. Cette saison, nous étions en milieu de classement après 10 matches avant quelques défaites qui ont fait mal. Les résultats n'épousaient pas l'ambition du club."

Le présent : "Je travaille un peu pour Didier Frenay, qui est parrain d'une de mes filles, et je termine mes cours d'entraîneur."

L'avenir : "On me dit - et je crois aussi - que j'ai les qualités pour entraîner au plus haut niveau. Si je dois passer par une étape intermédiaire pour le retrouver, aucun souci !"


(source : dhnet.be)

mardi 27 janvier 2009

J. C. n'est pas le Messie



Qu'on se le dise une fois pour toutes à Charleroi afin de repartir de l'avant

Voici ce qu'on pouvait trouver sur rcsc.be avant les matches contre Westerlo et au Cercle.

"Nul doute que nos Zèbres sont prêts a affronter ces deux défis après un stage fructueux en Turquie où le nouveau staff a pu communiquer au groupe sa rage de vaincre, où le travail et l'esprit d'équipe ont été mis en exergue, où les liens se sont renforcés."

Ah ? Courbe rentrante suite à la première claque en rappelant que la Coupe était la priorité : "Après un stage hivernal dirigé de main de maître par John Collins, certains supporters s'attendaient probablement à voir nos Zèbres s'imposer contre Westerlo et continuer sur le même mode tout au long de la saison. Malheureusement, nos Zèbres sont retombés sur terre."

Et de préciser : "Il ne faut pas non plus oublier que nos Zèbres découvrent un nouveau coach et un nouveau système de jeu. Durant la première période, les observateurs avertis auront probablement remarqué quelques phases et combinaisons qui permettent de penser que les joueurs ont saisi le message du coach. Cependant, en deux ou trois semaines d'entraînement, il est difficile d'imposer un système de jeu sans faille."

Avant d'aller à Roulers, on nous signalait que les observateurs avaient perçu un mieux au Cercle Bruges... Par rapport à la venue de Westerlo, heureusement, oui !

Résultats aidant, on ne nous bassine plus avec la rengaine Collins = Messie .

Tant mieux... pour lui car le discours autour de sa personne le desservait plus qu'autre cho- se ! Cravacher avec humilité pour s'en sortir, c'est tout ce qui reste à faire aux Zèbres et à leur ex-futur sauveur !


(source : dhnet.be)

lundi 26 janvier 2009

JC n'a toujours rien ressuscité



Sans compter le dernier match du premier tour face à Dender, alors qu'il venait à peine de prendre les rênes, le coach écossais déniché par les Bayat a enregistré une élimination en Coupe et deux défaites en championnat. À domicile contre Westerlo (en supériorité numérique) et donc samedi à Roulers (en infériorité numérique). Le décrié Siquet est parti. JC est arrivé, annoncé comme un messie, et les Zèbres se retrouvent désormais aux portes de la lutte pour le maintien avec trois petites unités à peine de plus que Tubize, le premier barragiste. Pour quelles raisons les Carolos en sont-ils là en ce début d'année 2009?

1. Le manque de réalisme. Tant offensif que défensif. Samedi, au Schiervelde, Charleroi aurait pu faire basculer le match en sa faveur après avoir égalisé. Mais Sergio a tapé la transversale tandis que Iajour et Habibou (qui ne partiront pas en vacances ensemble, voir par ailleurs) ont décidément tendance à jouer leur carte perso au point de gâcher des possibilités intéressantes. Au-delà de ça, le Sporting manque cruellement de présence devant. Et ce n'est sans doute pas Théréau ou Orlando qui vont modifier ce constat. Défensivement, ce n'est pas mieux. Les trois derniers adversaires de Charleroi ont chacun eu une foule d'occasions. Les erreurs et errements défensifs se multiplient.

2.L Le coaching. Pas de bonne formule. Après avoir tenté un 4-3-3, John Collins en est déjà revenu à un 4-4-2 avec Mujangi Bia comme second attaquant. Le nouvel entraîneur des Zèbres avait annoncé du spectacle, des résultats et un jeu rapide au sol «à la Arsenal», selon les termes de son président. Rien de tout cela pour l'instant. Ou alors, cela va prendre (trop) longtemps. Dans son coaching en match, John Collins a surpris par deux fois. Au Cercle, en n'anticipant pas la sortie d'un Chabaud mal en point, ce qui allait l'obliger à effectuer trop vite son troisième changement alors que les prolongations se profilaient à l'horizon. Et à Roulers, en faisant monter Théréau tandis que l'urgence était plutôt à la réorganisation de l'équipe après l'expulsion de Vandenbroeck.

3. Le physique. De ce côté-là non plus, les Zèbres ne sont pas au point. Évidemment, l'excuse du match à rallonges au Cercle était faite pour s'en servir. Mais comment expliquer qu'au sortir d'un stage «intensif» en Turquie, certains joueurs soient aussi peu au point au niveau de leur condition physique? Iajour ne parvient toujours pas à jouer plus d'une demi-heure à plein régime (le terme est peut-être mal choisi). Chakouri est trop vite à court de souffle. D'autres ne sont en tout cas pas armés pour soutenir le rythme qu'impose la philosophie de jeu de leur entraîneur. Charleroi manque donc de coffre. De gabarit aussi, visiblement. Notamment dans l'entrejeu et surtout si les Zèbres doivent désormais livrer des matches «de guerrier» pour le maintien.

4. La mentalité. Pourquoi le Sporting serait-il incapable de réaliser à Roulers ce que Westerlo a fait au Mambour une semaine plus tôt? On n'a toujours pas vu une véritable «équipe» carolo cette saison. John Collins, qui attend du «fighting spirit» a bien dû constater samedi que ses joueurs étaient souvent «seconds sur la balle». D'autres indices, comme la phase loufoque du botté du penalty ou la seconde carte jaune de Chakouri, dénotent d'un état d'esprit inadéquat.

(source : actu24.be)

Sans Kere ...



Fâché mercredi, Kere avançait des adducteurs douloureux. Collins reconduisait le 4-4-2 avec, par rapport au Cercle, Chakouri à la place de Badou et Iajour numériquement pour Chabaud. À 1-0, Iajour hérita d'un penalty et se frotta à Habibou, qui prenait le ballon et butait sur Sierens. M. Bultynck faisait recommencer pour intrusion : Iajour ne tirait pas mieux mais marquait... Collins : "Je n'avais désigné personne. De mon temps, celui qui avait marqué le penalty précédent avait la main (Iajour)."

Perisic mit fin à une phase confuse (2-1). Les visités se retrouvaient à 11 contre 10 à la reprise (faute de Vandenbroeck). Dissa faisait 3-1 peu après et le Sporting terminait à 9 (Chakouri).


David Vandenbroeck: "Nous avons touché le fond !"

De l'utopique Top 5 , Charleroi est désormais proche du Flop 4 ...

David Vandenbroeck en qui nous avons découvert un garçon posé et lucide n'y allait pas par quatre chemins : "Il faut employer les mots justes et ne pas se contenter de nuances. Nous sommes passés complètement à côté de notre sujet. C'est bien simple : aujourd'hui, nous avons touché le fond ! D'accord, nous sortons de semaines difficiles mais nous ne sommes pas les seuls. Et les autres... ils se bougent !"

Le défenseur brabançon de Charleroi insistait : "Il manque actuellement une âme à notre équipe. Chacun d'entre nous n'a pas cette indispensable envie de se battre pour ses compagnons de route."

Les Hennuyers ont effectivement sombré au Schiervelde. Comme c'est trop souvent le cas, ils se sont contentés de jouer au ballon au niveau de l'entrejeu dont le rendement fut de nouveau trop timide. En outre, ils ont affiché leurs insuffisances défensives et offensives, si bien qu'ils sont restés inopérants dans les zones de vérité. Cela fait beaucoup pour des gens... auxquels leurs principaux responsables accordaient naïvement (stupidement ?) une compétitivité.

Il est grand temps que tous ces gens-là regardent les choses en face... car si Charleroi était (paraît-il) voué à toucher au Top 5 , le voilà carrément menacé au classement où il ne compte que trois points d'avance sur le premier club potentiellement barragiste.

On l'a déjà souligné , les instances du Mambourg qui se gaussent de la valeur de leur potentiel n'ont pas les moyens de leurs ambitions démesurées. Qui relèvent carrément de l'utopie. Et il est impérieux qu'ils prennent conscience de la situation. Car désormais, s'ils ont retrouvé un objectif... c'est assurément le maintien !

L'entreprise est d'autant plus délicate que ceux qui luttent pour la même cause savent - eux - exactement où ils en sont et emploient les armes adéquates. Avec pour conséquence de suivre une courbe plutôt ascendante.

À l'inverse des Carolos qui se complaisent dans leur sorte de vanité. John Collins a rappelé qu'il avait relevé un challenge en acceptant l'invitation d'Abbas Bayat. Il le répétera à ses joueurs. Et il y a intérêt !


Mohamed Chakouri: "Cette fois, il est grand temps !"

Fabien Camus et Mohamed Chakouri suspendus face à Gand

La vilaine faute que Mohamed Chakouri a commise sur Harrie Gommans qui vaut une grave blessure aux ligaments du genou à l'attaquant de Roulers (opéré dès hier) n'a échappé à personne. Le défenseur français de Charleroi n'en fit pas état... mais contestait plutôt son exclusion : "D'accord pour la première carte jaune, mais l'arbitre s'est montré sévère pour ce qui est de la deuxième. Je pense qu'il ne l'aurait pas sortie s'il s'était souvenu que j'avais déjà été sanctionné. Cela étant, je tiens à m'excuser auprès de mes équipiers que j'ai ainsi abandonné coupablement."

De toute façon, ce sont tous les Zèbres qui ont laissé une impression... d'abandon sur la pelouse du Schiervelde : "Nous n'avons pas nécessairement rencontré une forte opposition mais nous n'avons pas réagi dans le bon sens face à de tels adversaires. Ceux-ci ont eu le mérite de se battre en faisant preuve d'une agressivité adéquate. Pour nous, il est grand temps de reconstruire le groupe. Tous ensemble !"

Il y a même urgence : "Nous devons passer à la vitesse supérieure sous peine de nous retrouver en danger. J'espère que, comme c'est souvent le cas, nous allons mieux exploiter les gros matches à venir."

Charleroi va successivement rencontrer La Gantoise... sans Fabien Camus ni Mohamed Chakouri qui paieront le tribut de leurs cartes jaunes, se déplacer au Cercle, accueillir Anderlecht et se rendre à Courtrai. Autant dire que tout s'est compliqué pour John Collins et les siens. Habib Habibou mettant le doigt sur les maux : "Nous manquons de collectivité, mais la solution à nos problèmes ne se résoudra que dans nos têtes !"


(source : dhnet.be)

"Je savais que ce serait difficile"



Le Sporting de Charleroi a perdu trois fois en une semaine, et soudain, les Carolos sont seulement trois points au-dessus de la zone de danger. L’entraîneur John Collins, qui a repris le club après Thierry Siquet, sait qu’il est devant un grand défi. David Vandenbroeck revient aussi sur ce match.

John Collins : « Quand j'ai commencé, je savais que ce serait un grand défi. Je savais que ce serait difficile et ça l’est maintenant » a déclaré l'Ecossais dans la Gazette des Sports.

Le défenseur David Vandenbroeck qui est passé à côté de son match s’exprime : « Il faut employer les mots justes et ne pas se contenter de nuances. Nous sommes passés complètement à côté de notre sujet. C'est bien simple : aujourd'hui, nous avons touché le fond ! D'accord, nous sortons de semaines difficiles mais nous ne sommes pas les seuls. Et les autres... ils se bougent ! » explique-t-il dans la Dernière Heure les Sports.

Il conclut : « Il manque actuellement une âme à notre équipe. Chacun d'entre nous n'a pas cette indispensable envie de se battre pour ses compagnons de route ».


(source : footgoal.net)

dimanche 25 janvier 2009

"Bosser jusqu'au bout"



Charleroi continue à plonger alors que ça rapplique derrière

Au Schiervelde, les nombreux renforts hivernaux donnent satisfaction et chaque occasion est bonne pour critiquer le travail estival de De Coninck.

Les gens de la place n'espèrent plus trop se sauver directement mais misent sur une participation aux barrages pour y arriver via le bel enthousiasme affiché hier. Dennis van Wijk n'avait qu'un gros regret : que la faute de Chakouri sur Gommans en première période n'ait pas valu au Carolo une exclusion directe.

De son côté, John Collins ne pouvait que constater les nouveaux dégâts.

"Nous avons pris un but assez rapide, ce qui n'est jamais l'idéal dans une rencontre. Nous avons bien réagi avec un peu de chance sur le penalty transformé à sa deuxième tentative. Ce fut ensuite un bon match des deux équipes, équilibré, même si Roulers se montrait plus dangereux devant. L'adversaire affichait un bel esprit. L'apport de nouveaux joueurs est évident dans cette équipe. Nous avons cependant eu des occasions pour faire 1-2 en contre-attaque avec de beaux arrêts du gardien avant de nous faire à nouveau surprendre dans notre surface, qui plus est au plus mauvais moment. En deuxième mi-temps, la fatigue de la Coupe de Belgique s'est fait ressentir. Et à 11 contre 10 avec un troisième but encaissé, ça devenait trop difficile... On va bosser jusqu'au bout pour relever la tête !"

L'Écossais ne se disait nullement encouragé malgré les défaites qui s'accumulent : "C'est le challenge, je le savais !"

(source : sport.be)

Roulers - Charleroi : 3-1 ...



Mac Donald bourreau des Carolos

Les supporters de Roulers n'avaient pas encore autant profité au Schiervelde. Charleroi s'est incliné 3-1. Le match ne pouvait pas mieux débuter pour les locaux, Mac Donald ouvrait le score après à peine quatre minutes de jeu sur un coup franc de Ten Heuvel. Mais la fête ne durait pas longtemps pour les locaux. En effet, Iajour rétablissait l'égalité sur penalty. Juste avant la pause, Roulers reprenait l'avantage par l'entremise de Perisic.

En seconde période, Roulers tenait naturellement à tuer le match. Et ce fut le cas à l'heure de jeu quand Mac Donald encore lui, servait Dissa qui ne se privait pas de faire 3-1. Charleroi fut ensuite amputé d'un joueur suite à l'exclusion de Vandenbroeck. La messe était dite. Charleroi terminait même la rencontre à 9 après une autre exclusion, celle de Chakouri.

(source : sport.be)

samedi 24 janvier 2009

Roulers - Charleroi : l'avant match.



Ce samedi 24 janvier 2009, à l'occasion de la 2e journée du deuxième tour de la Jupiler Pro League, le Sporting de Charleroi se déplace au Stadion Schiervelde, pour affronter le KSV Roulers... la lanterne rouge actuelle du championnat.

Monsieur Dennis van Wijck a opéré la sélection suivante pour le KSV Roulers :

Sierens, Mirvic, Ten Heuvel, Van Loo, Huyghebaert, Perisic, Provoost, Dequevy, Bétrémieux, Dissa, Mac Donald, Bourdon, Dembelé, Gommans, Ouattara, Smits, Tanghe, Van Handenhoven.

Monsieur John Collins composera au départ de la sélection ci-après pour le Sporting de Charleroi :

Laquait, Defays, Vandenbroeck, Chakouri, Moia, Camus, Miceli, Sergio, Chiarelli, Mujangi, Habibou, Baguette, Sbai, Kere, Iajour, Makiese, Théréau, Di Giugno, Fabris, Vicente.

La rencontre sera dirigée par Monsieur Jean-Baptist Bultynck, assisté par Messieurs Jean-Michel Soyer, Geert Simoens.

Le 4e arbitre sera Monsieur Stijn Hutsebaut.

Le coup d'envoi sera donné à 20h00.

(source : rcsc.be)

"Il n'y a pas péril mais ..."



Mohamed Chakouri mesure l'importance du match au Schiervelde


John Collins ne communique jamais ses intentions, donc sa sélection.

Il y a cependant de fortes probabilités que l'entraîneur écossais fasse confiance à l'équipe qui a terminé le match de mercredi dernier au Jan Breydelstadion en Coupe de Belgique. Si ce n'est que Massimo Moia devrait être reconduit au poste de défenseur latéral gauche où l'avait suppléé Slaheddine Sbaï, parce que le récent transfuge de La Gantoise avait été remplacé, juste pour le préserver d'une deuxième carte jaune.

Ce qui revient à envisager le maintien de Mohamed Chakouri au centre de la défense où il avait donné satisfaction : "En fait, c'est ma place de prédilection. Depuis tout jeune, j'évolue dans l'axe central défensif."

Mais venons-en plus précisément au match de ce samedi soir au Schiervelde. On ne peut pas affirmer qu'il survient à point nommé pour les Zèbres qui restent sous le coup de leur douloureuse élimination en Coupe de Belgique.

Ils ont pourtant tout intérêt à réagir... sous peine de se retrouver en difficulté en championnat dans la mesure où les poursuivants de Charleroi au classement n'attendent que de l'avoir en point de mire. On ajoutera que les Roulariens (revigorés - eux - par leur qualification... au Jan Breydelstadion !) abattront l'une de leurs dernières cartes.

Mohamed Chakouri examine lucidement : "Nous n'avons pas le droit de nous déplacer à Roulers avec des pieds de plomb. Nous aurons eu quarante-huit heures pour récupérer de notre déception tandis que, plus que dans tout autre domaine, la roue tourne continuellement dans le monde du football."

Et le joueur français d'ajouter : "Il faut aborder chaque match avec une conviction renouvelée. Et puis, s'il n'y a pas péril, nous devons prendre définitivement nos distances afin notamment de nous prouver des choses. Ainsi qu'à notre entourage !"


(source : dhnet.be)

Charleroi pleure Jean-Pol



Jean-Pol Spaute a connu les deux participations du Sporting carolo à la Coupe d'Europe, une première fois comme joueur, une seconde en tant que président


Jean-Pol Spaute, l'ancien président du Sporting de Charleroi, est décédé vendredi matin d'un arrêt cardiaque, indique le site internet des journaux du groupe Sudpresse.

Jean-Pol Spaute, qui a eu 66 ans dimanche, était hospitalisé depuis quelque temps. Son état s'était subitement aggravé jeudi, selon Sudpresse.
Spaute a connu les deux participations du Sporting carolo à la Coupe d'Europe, une première fois comme joueur, une seconde en tant que président.
Spaute a porté le maillot zébré de 1959 à 1971 (266 matches de championnat).

Il fut le capitaine de l'équipe qui, un an après être remontée en D1, termina vice-championne de Belgique, derrière le Standard, en 1969.
Les Zèbres découvrirent alors la Coupe d'Europe, éliminant le NK Zagreb avant d'être sortis par Rouen en Coupe des Villes de Foire, l'ancêtre de la Coupe de l'UEFA.

Jean-Pol Spaute est devenu président du Sporting de Charleroi en 1982, alors que le club était en D2. Trois ans plus tard, en mai 1985, Charleroi remportait le tour final de Division 2 et retrouvait la Division 1, qu'il n'a depuis plus quittée.

Avec Robert Waseige comme entraîneur, les Zèbres atteignirent la finale de la Coupe de Belgique en 1993. Un an plus tard, Charleroi retrouvait la Coupe d'Europe, avec à la clé une élimination au 1er tour de la Coupe de l'UEFA face au Rapid Bucarest.

Jean-Pol Spaute, qui quitta la présidence du Sporting en décembre 1999, était connu pour avoir découvert plusieurs talents, comme Philippe Albert, Daniel Van Buyten, Dante Brogno ou Eric Van Meir.

Le Sporting perd en Jean-Pol Spaute un très grand dirigeant


Jean-Pol Spaute est décédé vendredi matin à l'âge de 66 ans (il les a eu dimanche dernier) au CHU de Charleroi, à deux pas du stade du Mambourg. Il aura voué toute son existence au football et à "son" Sporting en particulier.

Il fut un junior de talent au sein d'une formation dont beaucoup d'éléments allaient confirmer au plus haut niveau. Il devint international de la catégorie en compagnie, notamment, de son équipier, André Colasse, resté son vieux copain. Dans cette équipe d'âge, il côtoya notamment Paul Van Himst.

Des études universitaires ne l'ont pas empêché de faire carrière sous le maillot zébré. Jeune homme de caractère à la personnalité forte, il fut capitaine des Zèbres. Il fit partie de l'équipe qui remporta, en mai 1966 au Parc Duden, le mémorable test-match face à Waterschei qui scella la montée en D1. En 1969, il conduisit le Charleroi des Bertoncello, Boulet, Bissot ou autre Colasse au titre de vice-champion.

C'est cependant en qualité de dirigeant (il était membre honoraire du Comité Exécutif) qu'il accomplit son œuvre majeure.

En 1982, le Sporting agonisait en D2. Jean-Paul Spaute reprit le club en mains en compagnie de Gaston Colson, le plus affecté de tous ses amis.

Jean-Pol Spaute assuma la présidence pendant 18 ans, jusqu'en 1982. Avec succès, puisque le club rejoignit la D1 en 1985 au bout du fameux tour final. Aujourd'hui, Charleroi est le seul club avec Anderlecht, le Standard et le Club Bruges qui aligne 24 saisons d'affilée parmi l'Élite.

Passionné, l'homme se révéla surtout un exceptionnel détecteur de talents. Il dénicha d'innombrables footballeurs en parcourant tous les stades du pays. Y compris (et surtout) ceux de D2 et de D3. Jean-Pol Spaute ? De la race des grands dirigeants, il incarnait le Sporting Charleroi.

Son enterrement aura lieu mardi à 10 h 45 au funérarium Fontaine, rue Devillez à Gilly.


Deux cicatrices douloureuses

L'ancien président souffrait d'être persona non grata dans ce qui fut son Mambourg

C'est sous la pression des autorités communales d'alors que JPS céda sa présidence, occupée par MM. Frère (tendance Ville) et Massart (pour le groupe Scifo) avant Abbas Bayat. Ce fut la première cicatrice zébrée de Spaute. Par corollaire, cela lui offrit de moins en moins de visibilité à l'URBSFA. Il en souffrait aussi beaucoup.

Le deuxième crève-cœur survint pleinement à son corps défendant. Suite à un conflit avec un partenaire du club dont il était proche, l'actuelle direction le déclara persona non grata au Mambourg. Il rejoignait ainsi M. Colson, victime de la même sanction plus tôt. Cela le minait...

"Honte à ceux qui lui ont fait ça !" nous soufflait hier Luc Frère alors que le Sporting actuel se déclarait endeuillé par un communiqué rappelant l'œuvre de Jean-Paul.

LE MILIEU se mit au diapason des sphères carolos , les dirigeants l'ayant connu (il fut très proche de Lambrecht, le président lokerenois) soulignant son apport à notre foot en général et à Charleroi en particulier.

"Un grand Monsieur s'en va..." nous confia Michel Verschueren. Au nom de la Ville de Charleroi, Mme Colicis, l'échevin des Sports, s'exprimait ainsi : "Je retiens sa phrase d'un soir de victoire quand il parla de 22.000 présidents. Ça le résume bien. Ce fut un grand dirigeant, qui suivait attentivement les jeunes. Cette façon de faire disparaît avec lui. M. Spaute n'oubliait pas non plus de soutenir les autres clubs de la région."

(source : dhnet.be)


Spaute au paradis des Zèbres

L'ancien président du Sporting est décédé d'un arrêt cardiaque ce vendredi à l'âge de 66 ans. Jean-Pol Spaute ne vécut que par et pour le matricule 22.

IL serait fastidieux de citer tous ceux que Jean-Pol Spaute a lancés... Philippe Albert symbolise son coup d'oeil tant vanté! Ex-footballeur lui-même, il fut de bon conseil pour nombre de joueurs, parents, dirigeants ou autres d'un milieu qui était sous le choc et lui rendait unanimement hommage hier, le Sporting publiant un communiqué rappelant son parcours.

Sa disparition, alors qu'il venait de fêter ses 66 ans (dimanche dernier), n'est pas une surprise. Dans le sérail carolo, on savait que Jean-Pol n'était pas au mieux... Il s'en est allé après un séjour à l'hôpital et avec la satisfaction d'avoir pu assister au mariage de son fils. À son épouse, ainsi qu'à ses enfants, Yannick et Marjorie, notre rédaction présente bien sûr ses condoléances... Gaston Colson, avec qui il fit les beaux jours du Mambourg, n'était pas le moins affecté hier.

Depuis 1999, quand il démissionna de la présidence du Sporting sous la pression de la Ville, il avait pris une posture de sage à qui on demandait volontiers son avis sur telle ou telle chose touchant au ballon rond. Jean-Pol continuait à assister à un maximum de matches dans la région, sa silhouette faisant toujours partie du décor à l'Olympic, à Couillet ou ailleurs. Mais son influence au sein des instances footballistiques officielles avait diminué au fil du temps et il s'en accommodait mal.

Tout comme le détruisait l'ukase dont il faisait l'objet de la part des dirigeants actuels du Sporting pour avoir eu le tort d'être resté fidèle à un ami qui eut des démêlés avec la famille Bayat. «Honte à ceux qui l'avaient déclaré persona non grata dans son ancienne maison!», pestait hier Luc Frère, qui lui succéda à la tête du conseil d'administration carolo à titre transitoire et à la demande des autorités communales avant que celles-ci n'accueillent Scifo, puis Bayat.

Mais Frère, à l'instar de tous ceux qui eurent à s'exprimer sur le sujet hier, se devait d'insister plutôt sur les qualités de JPS : «Il a consacré toute sa vie au club. Pourtant universitaire, il avait tout organisé d'un point de vue professionnel afin de pouvoir vivre pleinement sa passion. Fidèle en amitié, Jean-Pol était un connaisseur puriste de football».

Pour avoir été dans son ombre de nombreuses années, Luc Frère témoigne encore du respect qu'inspirait Spaute : «Tous les administrateurs étaient admiratifs devant le duo complémentaire qu'il formait avec Colson. Ce fut vraiment un grand président, qui plus est totalement désintéressé financièrement. Avec lui, c'est la culture et l'esprit du Mambourg, du vrai Sporting, qui s'en vont...»

Spaute restera à jamais l'homme des «22 000 présidents». Il eut cette formule au cours d'une soirée de folie lors de laquelle le grand Bruges fut terrassé dans un stade transformé en volcan. Il avait aussi prédit - et il fut traité de fou par certains à l'époque - que la part des rentrées aux guichets diminuerait de plus en plus dans les budgets des clubs. C'est une fameuse page de l'histoire du football carolo qui s'est tournée hier.

Les funérailles de Monsieur Spaute auront lieu mardi, à 10h45, au funérarium Fontaine de Gilly.

(source : actu24.be)




vendredi 23 janvier 2009

" le challenge reste ..."



Les Carolos veulent accorder les priorités à l'avenir !


Ce n'est donc pas cette saison que Charleroi remportera le trophée qui lui fait défaut. Il ne faut pas se leurrer.

Mercredi soir, au Jan Breydelstadion, les Zèbres se sont bien comportés. Ils ont utilisé leurs moyens, insuffisants. Ils ont généralement fait jeu égal avec les Brugeois, mais n'auraient pas eu droit aux prolongations si d'une part, leurs hôtes - et Kanu en particulier - ne s'étaient montrés maladroits; et si d'autre part, Bertrand Laquait ne s'était de nouveau distingué pendant que son vis-à-vis était pratiquement au chômage technique.

John Collins a rappelé : "J'ai relevé un challenge et rien n'a chan- gé. Nous savions que nous ne sortirions pas des difficultés sous l'effet d'un coup de baguette magique. Il faut laisser du temps au temps. Je suis déçu de notre élimination en Coupe, mais c'est du passé. Je ne pense qu'à l'avenir !"

Pour ce qui est de l'immédiat, le pessimisme est de mise au sujet de Sébastien Chabaud qui a fait l'objet d'une infiltration. Il pourrait manquer la rencontre de ce samedi afin de pourvoir au rétablissement de ses douleurs dorsales.

Par ailleurs, on a appris que le match Charleroi - Roulers des Espoirs, dont Majid Oulmers devrait disputer une mi-temps, était reporté de ce vendredi à lundi soir. Enfin, Mogi Bayat a précisé qu'il n'y avait rien de neuf quant aux renforts souhaités par John Collins. L'entraîneur écossais a confirmé que besoin en était, en s'appuyant notamment sur la valeur du banc brugeois qui fit la différence. Mais le temps presse...


(source : dhnet.be)

Les brèves.

* Victime d’un coup direct à la hanche mercredi face au Cercle de Bruges, Sébastien Chabaud n’a pu s’entraîné ce jeudi. Sa participation au match de ce samedi face à roulers est compromise. Se plaignant de douleurs aux adducteurs, Badou Kere est resté aux soins hier. Jehan souffre toujours de la cheville et restera au repos jusqu’en fin de semaine.

* Les zèbres partiront en mise au vert dès samedi matin avant d’affronter Roulers à 20h00.


(source : mambourg-charleroi.be)

Jean-Paul Spaute est décédé.



Nous apprenons le décès de Monsieur Jean-Paul Spaute, ancien Président du Sporting de Charleroi, survenu ce matin d’un arrêt cardiaque.

J.-P. Spaute fut aussi, avant de diriger le club, un grand joueur et capitaine de notre équipe vice championne de Belgique en 1969.

On n’oubliera pas également que sous sa présidence - de 1982 à 1999 – il fut à l’origine de la montée en 1985 de notre équipe vers la division 1 et de la finale de Coupe de Belgique face au Standard de Liège en 1993.

Il fut aussi un grand dénicheur de talents – de Beugnies à Albert, de Brogno à Van Buyten en passant par Van Meir ou Casto, Suray, Moury, ect...– qui se révélèrent ensuite sous le maillot qu’il adorait tant !

La Direction, les joueurs, la webteam et l’ensemble de la grande famille zébrée présentent leurs sincères condoléances à Dany, Marjorie et Yannick ainsi qu’à sa famille et ses proches.

(source : rcsc.be)

jeudi 22 janvier 2009

"Iajour n'est pas à vendre"


Annoncé par certains médias sur le départ en Turquie, Mouhssine Iajour restera bel et bien au Sporting de Charleroi. Malgré la présence dans les tribunes du Mambourg des responsables du club turc de Trabzonspor, aucun transfert ne devrait être effectué.

Mogi Bayat : « Il ne faut pas créer de saga Iajour. Mouhssine n’est pas à vendre! Pourtant, nous avons reçu 5 offres en provenance du Golfe et une de Turquie pour l’international marocain ces derniers jours. Mais il ne partira pas... » explique-t-il dans Sud-Presse.

(source : footgoal.net)

Décision aux prolongations



Les dirigeants carolos ne furent pas les seuls à déifier John Collins dès son arrivée au Mambourg. Les joueurs aussi n'ont jamais assez de mots pour exprimer l'admiration qu'ils vouent à l'Ecossais, le mot professionnalisme revenant à tout bout de champ. Mais de la parole aux actes, il y a, en foot comme ailleurs, la marge que l'on sait...

Les sifflets ayant raccompagné les Zèbres aux vestiaires par deux fois dimanche en attestaient aisément. Message compris ?

Hier, ils étaient en tout cas au pied du mur, le fait de jouer à quitte ou double apportant son pesant de piment à l'affaire !

Le Cercle fut le premier en action, Habibou répliquant avant plusieurs situations chaudes devant Laquait. Le relatif équilibre qui suivit fut rompu peu avant la demi-heure par Kanu, qui buta sur le gardien carolo . Dans la foulée, Kere, se fit menaçant de la tête pour Verbist et, surtout, Mujangi Bia y alla d'un exploit personnel (0-1). La première période se ponctua par deux occasions pour Kanu : Laquait sortit le grand jeu pour contrer la première et le Brésilien trébucha sur la seconde.

Le dernier rempart zébré eut du boulot à la reprise mais ne put éviter l'égalisation des onze mètres (faute de Kere sur De Smet). Kanu et Iachtchouk insistèrent, Laquait confirmant sa grande forme. Cela se calma jusqu'à l'approche du terme prévu : tête de Kanu sur le piquet, belle tentative de Miceli et but de Sergeant annulé pour hors-jeu [?].

Mujangi Bia donna le ton des prolongations en forçant Verbist à la parade et Habibou se vit à son tour refuser un but pour hors-jeu, au départ d'un tir de Camus. Laquait dut encore se détendre sur un envoi de Sergeant. Les réservistes du Cercle firent alors la décision : Buffel récupéra un ballon perdu par Camus, Snelders éliminant le RCSC via un tir dévié par Sbaï.

Le prochain objectif des Zèbres ? Le maintien.


Kere : "Ce n'est pas ma faute!"

Badou Kere avait sa tête des mauvais soirs : "J'estime que le match a été équilibré mais nous retournons bredouilles. Désormais, nous ne pouvons plus rien espérer de cette saison et c'est très ennuyant. Nous risquons de traîner cette élimination comme un boulet."

D'aucuns retiendront que le penalty de l'égalisation, provoqué par le Burkinabé, s'avéra le tournant des événements. C'est peut-être ce qui était le plus douloureusement ressenti par l'intéressé : "De Smet joue bien le coup car je m'arrête afin de ne pas commettre la faute."

En conséquence, John Collins fit un changement immédiat : "J'ai encaissé mon retrait comme une sanction. Cela me fait très mal car c'est comme si j'étais considéré comme le responsable de notre défaite. Que je sache, je n'ai pas perdu le ballon..."

Il est vrai que l'entraîneur écossais des Zèbres n'était pas content de son joueur : "En fait, je venais de venir boire une gorgée d'eau sur le bord du terrain et le coach m'a dit de me dépêcher afin de me replacer. Ensuite, il m'a carrément sanctionné. J'aurais préféré que l'on ne m'aligne pas !"

Parmi les autres joueurs, il y avait de quoi s'inquiéter sur l'état de Sébastien Chabaud. Le Dr Carl Willem confiait : "Il a reçu un coup direct au niveau du bassin et souffre beaucoup. Il s'agit d'une grosse contusion qui ne devrait pas être grave mais qu'il faudra néanmoins résorber en quarante-huit heures."

Il y aura des pansements de tous ordres à appliquer...


(source : dhnet.be)

Les Zèbres aussi sont rayés




Malgré une ouverture de score à Bruges, les Zèbres de Charelroi quittent la Coupe de Belgique contre le Cercle. Qui n'a plus aucun représentant wallon.

Deuxième désillusion en 2009 pour Collins et ses Zèbres, éliminés par un autobut de Sbai au beau milieu de la seconde prolongation. Bien plus tôt dans la soirée, durant la mi-temps, un nom revenait sur toutes les lèvres: Kanu. Pourtant, c'est Mujangi Bia, aligné en second attaquant, qui d'un magnifique tir enroulé avait trompé Verbist et ouvert le score. Mais L'attaquant brésilien prêté par Anderlecht dans le cadre du transfert de De Sutter, lui, s'était distingué d'une bien autre manière. En s'offrant deux loupés monumentaux. Un premier en reprenant de la tête à trois mètres du but, un centre tendu de Gombani, mais en plein sur Laquait. Le second de manière plus cocasse encore.

Car une «Madjer» (frappe de balle derrière le pied d'appui), c'est magnifique quand c'est réussi. Mais quand c'est raté, quasiment sur la ligne d'un but vide, c'est ridicule. Plus tard, en seconde période, Kanu allait se sentir moins seul quand, après avoir effectué un beau travail sur la droite, c'est Iachtchouk qui s'emmêlait les pinceaux alors qu'il n'avait plus qu'à conclure. Mais le Cercle avait entre-temps égalisé via un penalty obtenu (croche-pied de Kere) et transformé par De Smet.

La coupe n'a plus de Wallons

Si, dans l'ensemble, le Cercle exploitait bien les généreux espaces laissés entre les lignes des Zèbres, l'équipe de Glen De Boeck ne profitait pas de la mise en place difficile de la ligne arrière carolo. Et c'est comme ça qu'un match qui aurait dû être plié depuis longtemps pouvait se poursuivre en conservant un étonnant suspense. D'autant que les Brugeois n'étaient pas vraiment à l'abri. La preuve par cette... passe en retrait un rien bondissante de Sergeant que Verbist n'était pas loin de prolonger dans ses propres filets.

Ce qui se prolongeait aussi, c'était finalement la rencontre puisque, alors que Kanu avait touché le poteau et qu'un but de Sergeant dans les arrêts de jeu était annulé, les deux équipes poussaient le «plaisir» jusqu'aux prolongations. Périlleux pour les Carolos, déjà «justes» physiquement, et dont les trois changements avaient déjà été réalisés peu après l'heure de jeu. Si Mujangi Bia ne passait pas loin du doublé et qu'Habibou se voyait à son tour refuser un but, c'est effectivement les Brugeois qui prenaient les prolongations à leur compte. Les Zèbres, eux, pouvaient compter sur un Laquait des grands soirs. Mais ce dernier ne pouvait rien, mais alors rien du tout, quand Sbai le prenait donc à contre-pied en déviant malencontreusement un centre de Snelders.

La Coupe n'a plus de Wallons. Les Zèbres, eux, n'ont plus d'autre objectif cette saison que celui de se rassurer le plus vite possible.

(source : actu24.be)

mercredi 21 janvier 2009

Le Sporting éliminé ...



Le Sporting a été éliminé en 1/8 de finale de la Coupe de Belgique par le Cercle de Bruges sur le score de 2-1 après prolongations. Mujangi Bia avait ouvert le score en première mi-temps (35ème) et Desmet égalisé sur penalty en début de seconde. C'est un but contre son camp de Sbai qui scella le sort des zèbres.

Nous sommes le 21 janvier, la saison est terminée...

CS Bruges - Charleroi : l'avant match


La Coupe de Belgique reprend ses droits, ce mercredi 21 janvier, pour le Sporting de Charleroi.

Dans le cadre des huitièmes de finale de cette compétition, les Zèbres seront opposés au Cercle de Bruges.

Actuellement 5e du championnat de Jupiler Pro League, le Cercle a éliminé le K. FC. Racing Mol-Wezel sur le score de 2-1, au stade des seizièmes de finale de la Coupe.

Monsieur Glen De Boeck a opéré la sélection suivante pour le Cercle de Bruges :

Artz, Boi, Buffel, De Smet, Fernandez, Gombami, Iachtchouk, Kanu, Lane, Nyoni, Portier, Sergeant, Snelders, Vandenbussche, Verbist, Viane, Vidarsson, Coppens, Gjuzelov, Schotte, Tarumbwa, Van Eenoo.

Monsieur John Collins composera au départ de la sélection ci-après pour le Sporting de Charleroi :

Laquait, Baguette, Chakouri, Defays, Kere, Moia, Sbai, Vandenbroeck, Camus, Chabaud, Chiarelli, Miceli, Mujangi, Sergio, Habibou, Iajour, Makiese, Théréau.

L’arbitre désigné pour cette rencontre est Monsieur Serge Gumienny.

Il sera assisté par Messieurs Mark Simons et Laurent Castel. Le 4e arbitre sera Monsieur Christof Dierick.

Le Coup d’envoi sera donné à 20h30, au Jan Breydel Stadion.

(source : rcsc.be)

"Plus de mouvements"



Charleroi se déplace ce soir au Cercle pour le dernier 1/8 de finale de la Coupe de Belgique


Ils le sont lors de chaque match du championnat eu égard aux ambitions de leurs dirigeants mais les Zèbres seront plus que jamais au pied du mur, ce mercredi soir au Jan Breydelstadion. En quelque sorte, ils doivent saisir leur dernière bouée de sauvetage... et on ne peut pas dire que les conditions soient vraiment favorables.

Nous seulement , les Brugeois de Glen De Boeck ont pleinement retrouvé leur statut de la saison passée, mais les Carolos de John Collins devront avoir digéré leur récent échec. L'entraîneur écossais du Mambourg examine les forces en présence : "De notre côté, nous aurons dû récupérer et recharger nos accus. De l'autre... tout semble parfait !"

Le Cercle pourrait bénéficier des effets de son récent succès pour le moins retentissant : "J'ai assisté au match de vendredi dernier au Parc Astrid. Nous allons rencontrer des adversaires qui restent sur une excellente prestation. Ils ont notamment fourni une première mi-temps de haut niveau et m'ont laissé forte impression. Par leur fraîcheur et leur complémentarité. Au sein de cette équipe, chacun se met totalement au service de ses partenaires."

Alors, comment faut-il s'y prendre pour contrarier la progression de ces décidément redoutables Brugeois ?

"Je ne vais pas mettre la pression sur mes joueurs qui n'ont pas besoin qu'on leur souligne l'importance de l'enjeu", poursuit John Collins. "Il est clair qu'ils vont devoir changer leur fusil d'épaule."

Une simple amélioration ne sera pas suffisante. Dans le contexte de la Coupe de Belgique, le verdict - qu'il y aura à coup sûr - sera implacable.

"Ce qui a causé notre perte face aux Campinois de Westerlo, c'est que nous avons manqué singulièrement de mouvements autour des seize mètres. La créativité nous a fait cruellement défaut. C'est de ce côté que nous devons nous améliorer pour provoquer les choses en notre faveur. Il s'agira d'être plus présent... et d'inscrire le ou bien les buts indispensables dans la perspective d'une qualification pour les quarts de finale!"

En attendant les renforts réclamés par le mentor écossais ? Et, avance-t-il, à tous les niveaux de son effectif !

(source : dhnet.be)

mardi 20 janvier 2009

Toujours le même refrain



Les Zèbres ont affiché les mêmes qualités et les mêmes défauts !

John Collins avait prévu un entraînement lundi matin et l'après-midi de congé mais le mentor écossais a chan- gé le programme suite à la défaite de dimanche soir.

Ainsi, les joueurs se sont restaurés au Gril du Zèbre et ont été retenus au stade du Mambourg afin d'être conviés à une séance vidéo. Celle-ci consista à visionner les images du match Charleroi - Westerlo dont il importait de disséquer les nombreuses erreurs... à ne plus commettre !

Souvenons-nous qu'Abbas Ba-yat avait implicitement mis Thierry Siquet en cause après le match face à Lokeren du samedi 25 octobre. Ce soir-là, le président avait même condamné son entraîneur alors en place. La position de celui-ci était devenue intenable.

Or il ne fallait pas imaginer que John Collins ou bien un autre allait transfigurer l'équipe du Sporting sous l'effet d'un simple coup de baguette magique. On a revu les mêmes jou-eurs avec les mêmes qualités et les mêmes défauts que précédemment. À ce sujet, nous retenons le commentaire qu'un orfèvre en la matière nous a confié à la sortie du stade.

Toujours fidèle au poste, René Delchambre fut un formidable pourvoyeur dans les années septante : "Les Zèbres ont toujours tendance à procéder par trois passes alors qu'une seule suffit. Par conséquent, leur progression en souffre."

Nous avons déjà souligné que si les joueurs du Mambourg étai-ent généralement d'excellents manieurs de ballon et qu'ils étaient régulièrement en possession du ballon, leur jeu manquait cruellement de profondeur...

(source : dhnet.be)

lundi 19 janvier 2009

La Grande désillusion ...



Non, rien n'a changé pour Charleroi qui n'a pas dominé son sujet et a éprouvé toutes les difficultés face à un Westerlo organisé.

La seule modification, par rapport à ce que l'on avait imaginé eu égard aux indications perçues en cours de semaine, c'est que Miceli - qui n'a jamais donné que satisfaction à chaque fois qu'il a été appelé - était appelé au poste que nous avions dévoué à Chakouri. On s'y attendait.

Les Zèbres prirent l'ascendant dès les premières minutes du match mais ils ne provoquèrent pas un réel danger dans le rectangle défendu par De Winter.

Toujours est-il que les troupes de John Collins dominèrent sensiblement les débats... mais ne s'avérèrent nullement dominatrices. Et les choses se compliquèrent avec ce but inscrit par Adams qui transforma astucieusement (et superbement) un coup franc provoqué par Kere sur Ruiz. Il s'en fallut d'ailleurs de vraiment peu pour que Scheelen n'assomme littéralement les pensionnaires du Mambourg lorsqu'il ajusta une demi-volée qui aboutit juste à côté du deuxième poteau.


Ces Zèbres -là étaient dans leurs petites godasses... Alors que l'on s'attendait au contraire, les Campinois reprirent avec plus d'enhardise que leurs hôtes. On rejouait à peine depuis deux minutes que Tomou aurait doublé la marque (et probablement terminé le match) si Laquait n'était intervenu du pied dans une situation extrêmement délicate.

Les choses s'arrangèrent mieux pour Charleroi quand Delen accrocha [?] Théréau dans l'axe et amena l'arbitre à accorder très généreusement - trop, car il n'y avait pas faute - un penalty que transforma Iajour. Celui-ci avait été appelé à la rescousse au départ de la deuxième mi-temps.

Les Zèbres en reprirent beaucoup de vigueur et inquiétèrent sérieusement le gardien adverse. Notamment par Mujangi Bia dont l'envoi fut dévié par De Winter d'une claquette.

Le match s'anima donc... mais tourna de nouveau à l'avantage des Campinois qui inscrivirent un deuxième but via Ruiz, complètement oublié par les défenseurs de Charleroi.

(source : dhnet.be)


Première douche écossaise

Rien n'a changé? On nous aurait menti! Hier, on a vu une pelouse digne d'un champ de patates. Une équipe carolo incapable de construire trois actions claires.

Des pertes de balle comme s'il en pleuvait. Très, très peu d'occasions. Un public qui hue ou qui chante, moqueur, «We are the champions». Et au final, un club qui reste plus proche de la queue que de la tête du classement. Ah, si, une chose a changé : Charleroi a reçu un penalty cadeau! Mais cela ne l'a pas empêché de s'incliner!

Pourtant, les Zèbres ont joué à onze contre dix pendant plus d'une demi-heure. Westerlo avait ouvert le score sur un joli coup-franc de Adams. L'égalisation de Iajour sur ce coup de réparation imaginaire, qui avait aussi valu à Deelen (qui touche le ballon et non Théréau) d'être exclu, n'a pas été suffisante.

Ceulemans : «On a contrôlé»

Car ce sont les Campinois, en infériorité numérique, donc, qui ont fini par l'emporter grâce à Ruiz, oublié par la défense locale. Jan Ceulemans a parfaitement résumé la rencontre en quelques mots : « On a contrôlé la rencontre. On a laissé venir Charleroi qui a été fort peu dangereux. Réduits à dix, nous sommes restés organisés. En tentant de jouer le contre et de partir dans le dos des défenseurs adverses. Ça a bien marché.»

Par contre, rien n'a marché comme John Collins l'aurait voulu : «On a essayé de construire depuis l'arrière. Les défenseurs ont voulu jouer au sol. Mais les infiltrations de Westerlo, entre nos lignes, nous ont perturbés. Les trois attaquants (NDLR : Théréau, Habibou, Mujangi Bia) n'ont pas été percutants. Il n'y a pas eu assez d'occasions, de tirs au but, de centres. Dans l'ensemble, nous n'avons pas non plus suffisamment écarté le jeu. Pourtant, après la carte rouge, il y avait de la place.»

Bref, le coach écossais, s'il avait connu la victoire (face à Dender) pour sa première apparition, et qu'il s'est dit ravi du travail accompli en stage, mesure sans doute encore le travail qu'il reste à réaliser avec les Zèbres. Et au plus vite sera le mieux pour lui. Car mercredi, les Carolos ont leur match de Coupe au Cercle. Et samedi prochain, ils se rendent chez la lanterne rouge roularienne. Il n'y a pas (encore?) eu d'«effet» Collins. Cela ferait encore plus «mauvais effet», de voir l'arrière du peloton revenir trop près.

(source : actu24.be)

Moia : "Pas le meilleur début"


Titularisé dans la défense du Sporting de Charleroi, Massimo Moia aurait sans doute espéré un meilleur résultat pour son premier match avec les Zèbres. Cependant, il reste convaincu que son équipe obtiendra de bons résultats lors des prochaines rencontres. L'ancien défenseur de La Gantoise pense qu'il manque encore des automatismes entre les joueurs.

« Commencer dans une nouvelle équipe avec une défaite n'est jamais l'idéal », expliquait le joueur au micro de Sporza. « Pourtant, nous avons bien travaillé durant ces deux dernières semaines. Mais les joueurs ne se connaîssent pas encore. Il va falloir un peu de temps pour avoir les automatismes. Nous allons d'ailleurs travailler à l'entraînement afin de pouvoir remédier à cela. » « Ensuite, dans deux ou trois matchs, je pense que ça ira beaucoup mieux. Contre Westerlo, nous avons fait le jeu et nous avons bien pressé mais cela n'a pas suffit. Les Campinois ont eu deux occasions et ils ont inscrit deux buts. Nous, je pense que nous en avons eu dix et nous n'avons inscrit qu'un seul but. Il va également falloir travailler la finition. Je pense que ça ira mieux par la suite. »

(source : footgoal.net)

Réaction d'après match du coach.



Monsieur Collins, tous les signaux étaient au vert: vous aviez gagné votre premier match avec le Sporting, le stage en Turquie s’est très bien passé, l’équipe prend le premier quart d’heure de la rencontre de ce soir à son compte… Et puis, plus rien ! La dernière passe n’arrivait jamais et il n’y a pas eu de réel danger devant le gardien adverse.

Évidemment, je suis très déçu par ce résultat. On n’a pas créé assez d’occasions. On n’a pas assez gardé le ballon. Pas assez de bons mouvements! Il fallait provoquer beaucoup plus sur les côtés en première mi-temps. C’était nos faiblesses, ce soir. Par contre, on a toujours essayé de construire le jeu de l’arrière. C’est ce qu’il faut toujours faire. Ce n’est jamais facile sur un terrain comme ça, mais les gars ont continué à faire circuler la balle. Malheureusement, en football, il faut aussi se créer des occasions… et dans les seize derniers mètres, nous n’avons pas été assez bons.

Pas «assez bons» parce que les médians ne créaient pas assez ou parce que les attaquants ne bougeaient pas assez ? On vous a souvent vu indiquer aux joueurs avec des gestes qu’il fallait bien jouer sur toute la largeur du terrain. Est-ce cela que vous demandez ? Plus de mouvements et occuper toute la largeur du terrain ?

Il faut jouer sur les côtés, mais quand le ballon arrive dans les seize mètres il faut aussi provoquer les défenseurs. L’adversaire était très bien organisé défensivement, c’est vrai… mais quand Iajour est entré en deuxième mi-temps, on a été un peu plus dangereux.

Le Sporting ne vient-il pas de perdre le match le moins important de cette semaine ? En effet, mercredi, on va au Cercle de Bruges, en Coupe de Belgique. Puis, on se déplace à Roulers. N’est-ce pas une bonne claque un peu salutaire pour tout le groupe… avant d’aller gagner au Cercle ?

Moi, je veux gagner chaque match et donc, ce soir, je suis très déçu. C’est une bonne chose que nous ayons un nouveau match dès mercredi. Nous devons réagir tout de suite. On va analyser ce match demain. Ensuite, on se concentre directement sur le match de mercredi qui sera très important. On joue, pour moi, contre une très bonne équipe. J’ai vu le match du Cercle contre Anderlecht. Ce ne sera pas un match facile pour nous. C’est ce genre de challenge que je recherche en tant que coach. J’espère que les joueurs aussi.

Vous avez eu le temps, depuis votre arrivée en Belgique, de faire le tour des terrains et des stades de D1. Avez-vous une bonne idée de la valeur du groupe du Sporting ? Que manque-t-il ? Certainement pas l’envie et la motivation… mais peut-être trop de stress, trop de pression, l’envie de trop bien faire ?

Je crois que ce n’est ni le stress, ni la pression. C’est vrai qu’on a bien travaillé aux entraînements, mais le plus important, ce sont les matches. Il faut reproduire ce que l’on fait aux entraînements en match. Ce n’est pas évident. Aujourd’hui, il y a deux choses qui ont empêché cela : un bon adversaire très bien organisé et – il faut bien le dire – l’état de notre terrain qui n’est pas idéal. On va continuer à travailler pour cela.

L’état du terrain du Cercle, mercredi, ne va certainement pas vous ravir, alors…

Tant pis. C’est la vie…(rires)


(source : rcsc.be)